Elections européennes, les candidats de centre droit désertent le rendez-vous avec le Cna – Pescara

Elections européennes, les candidats de centre droit désertent le rendez-vous avec le Cna – Pescara
Elections européennes, les candidats de centre droit désertent le rendez-vous avec le Cna – Pescara

PESCARA. Cna ? Non, merci. Les candidats du centre-droit des Abruzzes aux élections européennes ont déserté la réunion organisée hier matin à Pescara par l’association des artisans. Parmi les autres, cependant, il y a eu un consensus unanime sur les objectifs définis par le monde des micro-entreprises pour l’avenir de l’Union européenne. Le Cna Artisans Entrepreneurs d’Italie Abruzzes a présenté son Manifeste qui résume en dix points la vision d’« Une Europe plus forte, cohésive et compétitive pour faire face aux défis du futur ».
Une sorte de décalogue qui inclut la transition verte et la durabilité énergétique ; politiques industrielles communautaires; dialogue et coopération avec les pays tiers; protection du travail et modèle social; une législation favorable aux entreprises ; l’achèvement du marché unique; intelligence artificielle de la transition numérique ; surmonter les inégalités; nouveau modèle économique; dialogue entre les institutions et les partenaires sociaux.
Ils ont répondu à l’invitation à discuter Manola Di Pasquale (Pd); Valentina Corneli Et Fabio Stella (M5S); Giulia Persico (Alliance de la gauche verte) ; Paolo Della Ventura (Paix, Terre, Dignité) ; Emmanuelle Pistoia (États-Unis d’Europe), qui a finalement signé symboliquement une copie du Manifeste. Était également présent dans l’assistance le parlementaire cinq étoiles Daniela Torto.
La réunion, coordonnée par le directeur régional du Cna, Silvio Calice (“Le Cna a un bureau efficace à Bruxelles, pour nous les politiques européennes sont un élément essentiel du développement”) et par les présidents de province Bernardo Sofia (Téramo), Cristian Odoardi (Pescara), Francesco D’Amore (Avezzano) e George très cher (L’Aquila), a vu se succéder les interventions des invités, qui ont souligné les points les plus significatifs de leur propre point de vue.
Ainsi, si pour Della Ventura « la transition écologique représente un carrefour fondamental pour les chaînes de production », pour Manola Di Pasquale « il est essentiel pour l’avenir de l’Union européenne de maintenir un système de valeurs qui protège le monde de la micro et petites entreprises», tandis que pour Giulia Persico «pour faire grandir le monde des petites entreprises, nous devons exploiter les nombreuses opportunités financières que les appels d’offres européens mettent en jeu, un domaine dans lequel notre région ne brille pas».
Et si pour la professeure universitaire de Teramo originaire de Rome, Emanuela Pistoia, « le cœur de l’intégration est le marché unique, mais il faut trouver un système qui ne soit pas seulement constitué d’interdictions », pour Corneli « les petites et moyennes entreprises représentent une épine dorsale du système national et, au niveau communautaire, il est nécessaire de les protéger avec des outils gouvernementaux uniques, notamment en matière d’impôts et de salaires”, tandis que pour Stella, conseillère théâtine, “la transition écologique doit être saisie comme une opportunité extraordinaire, en regardant les processus à moyen et long terme”. (uc)

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