Carrara, le maire répond à Assotir: «Nous saluons les propositions faites, ouvrons maintenant la table»

Carrara, le maire répond à Assotir: «Nous saluons les propositions faites, ouvrons maintenant la table»
Carrara, le maire répond à Assotir: «Nous saluons les propositions faites, ouvrons maintenant la table»

CARRARA – « Nous acceptons les observations d’Assotir tant sur l’entretien des routes que sur les conditions de travail des chauffeurs routiers ». Le maire serein Arrighi répond aux protestations d’Assotir répandues dans la presse il y a quelques jours (on en parle ici). « Dans le premier cas – affirme le maire – nous nous engageons depuis longtemps à intervenir pour améliorer la situation de nos routes en amont. Deux lots de travaux ont déjà été attribués dans la zone de Tassara, tandis que des interventions urgentes sont déjà prévues, chaque année nous réalisons également de nouvelles améliorations sur toutes les routes en amont et dans la Strada dei Marmi, et enfin nous travaillons sur d’éventuelles améliorations de être fait pour le lavage, mais il n’est pas facile de suivre tous les problèmes critiques. Je suis convaincu que pour parvenir à une solution définitive pour notre transport routier, un changement de paradigme est nécessaire, c’est pourquoi la table pour parvenir à un accord sectoriel comme le suggère Assotir est la bienvenue – le premier citoyen salue la proposition -. En tant que municipalité et en tant qu’administration, nous sommes absolument solidaires et disponibles car ce n’est qu’ainsi qu’il sera possible de surmonter les trop nombreuses contradictions trouvées dans un secteur qui a toujours été au centre de notre économie. Les camionneurs et les entreprises de transport font partie intégrante du monde du marbre et doivent donc être pris en compte et valorisés. Il est donc nécessaire que toutes les parties intéressées : transporteurs, concessionnaires de carrières, associations professionnelles, syndicats et institutions se réunissent pour discuter du présent et de l’avenir du secteur, en imaginant des solutions partagées qui, d’une part, vont dans le sens d’une réduction des déséquilibres économiques à laquelle sont souvent soumis aujourd’hui les camionneurs, d’autre part – conclut Serena Arrighi – cela ouvre également le débat sur l’entretien des routes en amont et les coûts de gestion nécessaires”.

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