procès abrégé pour les 4 accusés

À travers leutilisation d’un drone livré aux instituts de punition téléphones portables et cartes inscrit à des personnes inexistantes. Quatre sont désormais accusés devant le juge d’audience préliminaire du tribunal de Bénévent, compétent territorialement, car dans la prison de Bénévent, en novembre de l’année dernière, en plus de livrer des téléphones portables, ils avaient également ajouté de la drogue.

Lors de l’audience d’hier, les défenseurs ont demandé et obtenu bénéficier de la procédure abrégée. Il y a eu également la constitution d’une partie civile, par l’intermédiaire du Bureau du Procureur général du Ministère de la Justice. Le ministère estime en effet que cette répétitivité des incursions de drones dans les établissements pénitentiaires a causé une série de problèmes, depuis l’endommagement de l’image jusqu’à la gestion de la sécurité, mais aussi en ce qui concerne l’utilisation de l’installation d’équipements spéciaux capables de les intercepter. Une partie civile qui a été admise par le juge d’instruction préliminaire Roberto Nuzzo, qui a décidé que le verdict concernant les quatre serait rendu lors d’une audience prévue le 8 juillet.

Les accusés sont Simone Iacomino41 ans, de Portici, actuellement détenu à Agrigente ; Véronique Virgile37 ans, de Giugliano e Salvatore Sbrescia54 ans, de Portici, tous deux assignés à résidence ; Vassil Dziatko36 ans, obligé de signer à Sutri, dans la province de Viterbe. Le parquet d’Asti a ouvert l’enquête à la fin de l’année dernière. L’enquête s’est terminée par une ordonnance du juge d’instruction du Piémont, qui a ensuite transmis les documents à Bénévent, pour la juridiction territoriale. Selon l’accusation, les quatre hommes ont créé une organisation qui, grâce à un drone modifié en conséquence, livrait des téléphones portables à divers établissements pénitentiaires.

Outre la prison de Bénévent, les enquêteurs estiment que les accouchements ont également eu lieu dans les prisons d’Asti, Saluzzo, Agrigente, Catane, Ascoli Piceno, Teramo, Avellino, Ariano Irpino. Selon la reconstitution des enquêteurs, l’un des participants à l’organisation a fait était situé à une distance considérable de la prison, au sein duquel se trouvaient ceux qui récupéraient les emballages et assuraient la commercialisation du contenu. Il y avait aussi une grille de prix qui comprenait mille euros pour les smartphones et 300 euros pour les micros. Selon les enquêteurs, Iacomino était à la tête de l’organisation et a ensuite récompensé les autres associés. Les prévenus sont défendus par les avocats Ettore Marcarelli, Laura Filippucci, Fiorella Fabozzo, Francesco Armentano et Gianluca Bona.

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