La qualité de vie à Bari s’est améliorée au cours des cinq dernières années. Mais la sécurité laisse à désirer

La qualité de vie à Bari s’est améliorée au cours des cinq dernières années. Mais la sécurité laisse à désirer
La qualité de vie à Bari s’est améliorée au cours des cinq dernières années. Mais la sécurité laisse à désirer

Les habitants de Bari sont satisfaits de Bari : plus de la moitié de la population pense que sa qualité de vie s’est améliorée au cours des cinq dernières années. Un résultat qui, en plus de redonner du crédit à la ville, marque un net renversement de tendance par rapport au reste du pays. Plus de la moitié des citoyens de certaines villes italiennes estiment que la qualité de vie dans leur ville s’est détériorée au cours des cinq dernières années. C’est ce qui ressort de l’enquête « Qualité de vie dans les villes européennes », une enquête menée par la Commission européenne avec la contribution de l’Istat dans une sélection de villes européennes, visant à accroître les connaissances sur la qualité de vie perçue en milieu urbain.

Le nœud de sécurité

Le point sensible est la sécurité, les habitants de Bari pensent qu’il y a trop d’événements criminels pour définir la ville comme sûre. Un sujet qui devient chaque jour de plus en plus protagoniste dans l’opinion publique de la ville, même s’il s’agit en fait d’un débat national. En fait, dans les villes italiennes, nous observons les pourcentages les plus faibles de personnes qui se sentent en sécurité en marchant seules la nuit dans leur propre ville. Les parts les plus faibles (moins de 30 %) se trouvent à Catane, Milan, Tarente, Gênes, Venise, Parme et Bari est la capitale européenne avec le pourcentage le plus faible (36,8 %).

Le rapport à l’immigration

Dans toutes les villes observées, plus de 50% des habitants estiment pouvoir compter sur l’aide matérielle de leurs amis, voisins et autres personnes en cas de besoin. Les proportions de personnes pensant pouvoir bénéficier d’une aide non matérielle sont cohérentes avec les précédentes, mais tendent à être plus élevées.
De plus, selon l’étude, dans toutes les villes examinées, la majorité des habitants conviennent que leur ville est un bon endroit où vivre pour les gens en général, mais moins pour la population immigrée. Les pourcentages les plus faibles de ceux qui considèrent la ville comme un lieu d’accueil pour les immigrants s’observent dans certaines villes du Sud, mais aussi à Trieste et Gênes, tandis que le pourcentage le plus élevé se trouve à Bologne (avec des valeurs similaires à celles de Madrid et Helsinki). ).

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