Durabilité, Urso : nous voulons transformer l’Italie en un pays producteur de technologies numériques et vertes. INTERVIEW VIDÉO

Durabilité, Urso : nous voulons transformer l’Italie en un pays producteur de technologies numériques et vertes. INTERVIEW VIDÉO
Durabilité, Urso : nous voulons transformer l’Italie en un pays producteur de technologies numériques et vertes. INTERVIEW VIDÉO

“Nous avons déjà une réunion convoquée la semaine prochaine, à Termoli, sur ce projet avec l’entreprise, avec les syndicats et la Région. Lors de cette réunion, ils nous expliqueront évidemment les raisons de ce report dans l’exécution de deux projets importants en Italie. et en Allemagne, nous évaluerons ce qui peut être fait et, à notre avis, ce qui devrait être fait en premier lieu à Termoli pour la continuité de la production des usines actuelles et donc pour maintenir les niveaux d’emploi actuels, en prolongeant la durée de vie des modèles. fabriqués dans ces usines”.

Ainsi Adolfo Urso, ministre Mimit, en marge de l’Assemblée annuelle Federvini organisée à Rome.

“C’est la première condition nécessaire, en attendant que l’investissement soit réalisé, si celui-ci échouait réellement dans un an, il faudrait en même temps prolonger la durée de production des modèles qui sont fabriqués dans cette usine, donc afin de garantir les niveaux d’emploi actuels.

En même temps, nous sommes convaincus que nous devons soutenir avec conviction tous ceux qui, dans notre pays, entendent créer des technologies vertes, comme les batteries électriques, mais aussi les panneaux photovoltaïques, les parcs éoliens et tout ce que la technologie verte apporte.

Par exemple, ce que nous avons fait sur la microélectronique, nous sommes très engagés et déterminés à faire de notre pays un producteur de technologie numérique et de technologie verte, dans la double transition que nous stimulons également à travers le « Plan de Transition 5.0 », qui est le plus grand Les mesures d’efficacité énergétique du plan n’ont jamais été mises en œuvre dans notre Europe.

Transition 5.0 car elle combine innovation numérique et innovation verte, contrairement à l’industrie 4.0 qui était exclusivement dédiée à l’innovation numérique. Nous nous engageons donc à innover dans nos entreprises avec ce plan d’action 5.0, tout en mettant en œuvre des projets, en encourageant les investissements, pour produire des technologies numériques et des technologies vertes en Italie.

Je donne l’exemple, il y avait l’hypothèse qu’Intel investirait significativement en Europe, y compris en Italie, en Allemagne, en France puis, ayant constaté qu’elle avait des problèmes dans la planification de ses ressources, on ne s’est pas découragé. Nous avons encouragé un plan national pour la microélectronique, ce qui nous a permis entre-temps d’annoncer déjà plus de 8 milliards d’investissements dans la microélectronique en Italie. Si l’on ajoute les 3,2 milliards de Silicon Box, les 5,3 milliards de ST Microelectronics, les 420 millions d’euros de la ligne pilote de la Commission européenne destinée aux matériaux à haute résistance, menée par Catane et les autres investissements plus récents de l’entreprise française en Émilie-Romagne et une entreprise allemande du Piémont. Au total, dès la première partie de cette année, nous avons pu annoncer des investissements bien supérieurs à 8 milliards d’euros et d’ici la fin de l’année, nous devrons dépasser le seuil des 10 milliards d’investissements dans la microélectronique. .

Nous n’abandonnons pas si une entreprise décide de modifier ses projets d’internationalisation. Nous ferons évidemment de même dans le secteur de la mobilité électrique. Pour cette raison, entre autres, et ce n’est pas un hasard, dans la reprogrammation des fonds européens, à travers la discussion qui a eu lieu entre le gouvernement et la Commission en décembre, les ressources qui ont été reprogrammées en passant de chapitres budgétaires peu productifs, ont été alloués en grande partie aux entreprises, près de 14 milliards d’euros, dont près de 10 milliards d’euros de mon ministère, sur ces ressources, en plus de celles allouées à la “nation 5.0”, nous en avons alloué 2 milliards parmi les contrats de développement pour l’industrie « Net zéro », qui crée des technologies vertes.

Ce que je veux dire? Nous nous engageons évidemment à soutenir le projet Gigafactory qui sera mis en œuvre à Termoli et en même temps nous encourageons, par une action systématique et continue, d’autres entreprises qui souhaitent créer des systèmes de technologies vertes dans notre pays, du photovoltaïque aux parcs éoliens, en passant par l’électricité. batterie, tout ce dont vous avez besoin pour la mobilité. Parce que nous sommes convaincus de faire de l’Italie un pays producteur de technologie numérique et de technologie verte. Et je crois que nous pouvons le faire. »

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