Sécurité et commerce. Lucques a réussi (presque) haut la main dans l’enquête toscane

Sécurité et commerce. Lucques a réussi (presque) haut la main dans l’enquête toscane
Sécurité et commerce. Lucques a réussi (presque) haut la main dans l’enquête toscane

Mais où est la sécurité à la maison ? Pour les commerçants de Lucques, c’est une colocataire agréable qui ne s’absente que de temps en temps. La perception que déclarent les entrepreneurs commerciaux concernant la sécurité de leur territoire et, par conséquent, du présent et de l’avenir de leur entreprise, est substantiellement positive. Les données sont celles publiées par Confcommercio Toscana relatives à l’enquête commandée à Format Research à l’occasion de la 11ème édition de la journée nationale « La Légalité, ça nous plaît ».

Malgré quelques épisodes récents – voir les tentatives de vol répétées au magasin Tenucci (voleurs arrêtés) – en général, les opérateurs de notre tissu commercial affrontent la journée en toute tranquillité. Les provinces où les ombres de la petite délinquance – vols à l’étalage, vandalisme, razzias – suscitent des inquiétudes sont surtout Prato (en tête du classement toscan) avec 55,7%, Pise, 40,7%, Florence, 38,1%. Viennent ensuite Livourne, Massa Carrara, Grosseto, Pistoia et, au pied du classement, Lucca avec 20,4% suivi seulement par Arezzo (16,3) et Sienne (14).

Selon les entreprises, les principales causes des délits sont l’absence de certitude de sanction (59.3), la situation économique, la faible présence de la police et la présence de citoyens non européens. Si la question se concentre sur le sérieux avec lequel considérer le risque perçu pour son entreprise, la réponse est tout d’abord celle de Livourne (76,6%), puis Florence (76,5), troisième sur le “podium” Arezzo (75,9%), heureusement avant-dernier Lucques (61,8). En général, dans près de 70 pour cent des cas, les entrepreneurs estiment que les phénomènes criminels tels que les comportements de harcèlement, les actes de vandalisme, etc. doivent être signalés. 30,8% jettent la pierre et retirent la main en déclarant qu’il faut seulement les signaler. Et un nombre inquiétant de 3,6 % estiment que rien ne peut être fait car cela ne servirait à rien.

Chapitre présence de la police, où les pourcentages les plus élevés se réfèrent à une présence « assez ou totalement insuffisante ». C’est ce qu’ils pensent à Prato (63%), également à Pise (presque 62%), Florence (59,4), suivis de Grosseto, Arezzo, Livourne, et c’est seulement à ce moment-là que Lucques apparaît (50,3) avant seulement Massa Carrara, Sienne, Pistoia. Confcommercio Toscana a voulu examiner à la loupe un problème qui devient une véritable urgence, mais heureusement pas en ces termes à Lucques.

Et cela se confirme en détail par province révélé par l’enquête. La question : « De manière générale, en pensant aux phénomènes de petite délinquance tels que les vols à l’étalage, le vandalisme, les perquisitions, etc., considérez-vous comme sûr la zone dans laquelle votre entreprise opère ? Et ici, personne en Toscane ne nous bat, comparé aux 74,9 pour cent de ceux qui ont répondu « tout à fait sûr » et aux 4,7 % qui ont répondu « tout à fait sûr ».

Laura Sartini

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