Manifestation nationale des travailleurs de la restauration collective. Garnison à Sienne. Filcams Cgil, « Les entreprises ont nié le droit de grève, les Administrations Locales doivent être garantes ». – Actualités Centralitalia

Manifestation nationale des travailleurs de la restauration collective. Garnison à Sienne. Filcams Cgil, « Les entreprises ont nié le droit de grève, les Administrations Locales doivent être garantes ». – Actualités Centralitalia
Manifestation nationale des travailleurs de la restauration collective. Garnison à Sienne. Filcams Cgil, « Les entreprises ont nié le droit de grève, les Administrations Locales doivent être garantes ». – Actualités Centralitalia

La FILCAMS CGIL de Sienne, avec les autres organisations syndicales représentant le secteur de la restauration commerciale et collective, a participé à la grève proclamée par les catégories nationales. Une grève réussie et participative qui a réuni une centaine de travailleurs sur la Piazza del Duomo de Sienne. Le secteur. « Il aurait pu y en avoir beaucoup plus, si les différentes entreprises impliquées et présentes dans la zone – affirme une note syndicale – n’avaient pas refusé le droit de grève, qui, profitant de la loi 146/90, qui réglemente les services publics essentiels, l’ont fait. a « ordonné » à des dizaines d’ouvriers de fournir des repas. Nous tenons à vous rappeler qu’à ce jour, en plus de la législation réglementant les services essentiels, le CCNL signé réglemente et identifie déjà quels services doivent être garantis en cas de grève. Nous avons constaté l’incident le plus grave dans la station thermale Vivenda (Groupe La Cascina), qui opère dans la région de Sienne, qui, par des ordres de service, a effectivement nié s’être mise en grève. Et tout cela parce que, selon l’Entreprise, les clients, au moment de signer l’attribution de l’appel d’offres, insèrent dans le cahier des charges une clause qui oblige les Entreprises à garantir un niveau minimum de surveillance. Si cela était vrai, nous le considérerions comme un. sujet sérieux. Les administrations municipales doivent être un rempart de la démocratie et de la protection des droits des travailleurs, y compris ceux qui travaillent dans le secteur des marchés publics, et respecter les dispositions de la législation en vigueur, et ne peuvent pas interpréter les règles à leur guise, niant ainsi le droit de grève. dans les prochains jours, FILCAMS de Sienne demandera aux municipalités tous les cahiers des charges et contrats d’approvisionnement et si nous trouvons des dispositions qui entrent en conflit avec le droit de grève des travailleurs, nous demanderons leur annulation immédiate. De plus, avec nos avocats. , nous évaluerons, pour les entreprises qui se sont rendues coupables de commandements forcés envers les travailleurs, leur interdisant de fait le droit constitutionnel de grève, la configuration possible d’un comportement antisyndical.

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