Le conseil municipal de Catanzaro a approuvé une résolution pour le démarrage du service de partage de vélos électriques à pédales assistées. Le président du Conseil municipal, Gianmichele Bosco, a annoncé la nouvelle.
« Ce projet représente une étape importante vers le développement de la mobilité durable dans la ville. Cette disposition s’inscrit dans un contexte dans lequel les émissions des véhicules à combustion interne sont reconnues comme l’une des principales causes de la pollution de l’air urbain. Ces dernières années, la micromobilité électrique a gagné en importance en tant que partie intégrante des systèmes de mobilité durable, reconnus pour leur haute qualité environnementale, économique et sociale. La mobilité durable doit inclure non seulement le trafic routier et les transports publics, mais également d’autres modes de déplacement tels que la mobilité piétonne et cycliste. L’objectif est de créer un système urbain qui réduit l’utilisation des véhicules privés, augmente les transports collectifs et favorise l’intermodalité.’
Concrètement, la résolution prévoit l’adoption de spécifications techniques pour la location de vélos électriques à pédalage assisté. Les principaux points de la résolution sont :
– Premiers tests : Démarrage du service avec un nombre maximum de 150 stations de stationnement.
– Règles de stationnement : Les vélos ne peuvent pas être laissés sur les trottoirs ou dans d’autres endroits interdits, mais uniquement dans les parkings.
– Limites pour les opérateurs : Chaque opérateur pourra créer un maximum de 25 stations de stationnement, d’une superficie de 10 mètres carrés chacune, et disposer d’un maximum de 100 vélos en location.
« Le service de partage de vélos électriques à pédalage assisté représente une solution innovante pour une mobilité plus écologique, efficace et économique, avec de nombreux avantages environnementaux et sociaux. L’Administration Municipale de Catanzaro est convaincue que cette initiative constitue un premier pas vers la réduction de la pollution atmosphérique et sonore, la réduction du trafic, l’économie sur les coûts d’achat et d’entretien des véhicules et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens. Désormais, toutes les villes doivent s’habituer à des itinéraires plus verts et plus durables », a conclu Bosco.
