En Toscane, un appel d’offres de 3 millions pour améliorer les normes de bien-être animal – VDA News

En Toscane, un appel d’offres de 3 millions pour améliorer les normes de bien-être animal – VDA News
En Toscane, un appel d’offres de 3 millions pour améliorer les normes de bien-être animal – VDA News

Rome, 6 juin. (askanews) – Bien-être animal, la Toscane se prépare à l’excellence. Une toute nouvelle mesure arrive qui accorde des apports en capital destinés à tous les agriculteurs qui souhaitent élever, grâce à des investissements appropriés, le niveau de bien-être animal au-delà des normes en vigueur et au-delà des réglementations en vigueur.

Le conseil régional, sur proposition du vice-président et conseiller pour l’agriculture, a approuvé les dispositions de l’appel d’offres, qui s’inscrit dans le cadre de Giovanisì, le projet de la Région pour l’autonomie des jeunes, et qui est inclus dans le Complément de développement rural (Csr) 23-27, l’instrument qui a remplacé le Plan de développement rural, avec une allocation de 3 millions d’euros de fonds communautaires.

Le Président de la Région, pour sa part, a souligné comment la chaîne d’approvisionnement de l’élevage toscan a déclenché depuis longtemps un processus vertueux, qui a déjà été testé et vérifié avec les précédents appels d’offres “prix” pour le bien-être animal (celui actuellement ouvert sur la mesure 14 expire le 1er juillet), qui ont connu un grand succès et qui ont poussé la municipalité toscane à développer de nouvelles mesures “d’accompagnement” en faveur de ses agriculteurs, visant cette fois à élever le niveau structurel des performances des entreprises.

Peuvent participer à l’appel d’offres les entrepreneurs agricoles, individuels ou associés, qui proposent de réaliser des investissements tant matériels (biosécurité, élévation du bien-être) qu’immatériels (programmes informatiques) pour la gestion des activités.

Grâce à la contribution, les agriculteurs toscans pourront ainsi soutenir les investissements des entreprises visant à encourager l’évolution de l’élevage vers un modèle plus durable et éthique, également à travers l’introduction de systèmes de gestion innovants et précis, qui augmentent le bien-être animal et la biosécurité. Le soutien public, accordé sous forme d’apport en capital, peut être de 80% en apport de base ou si le bénéficiaire est un jeune agriculteur et de 85% si le bénéficiaire est une “petite entreprise agricole”.

PREV dommages au trésor dans 54 municipalités pour plus de 5 millions
NEXT Protagoniste de Modène avec l’émission néerlandaise “De Avondetappe”