Quinze Molfetta – Reborn Molfetta : Le plan vert ne peut être reporté, pour éviter de nouveaux dégâts

Quinze Molfetta – Reborn Molfetta : Le plan vert ne peut être reporté, pour éviter de nouveaux dégâts
Quinze Molfetta – Reborn Molfetta : Le plan vert ne peut être reporté, pour éviter de nouveaux dégâts

Reborn Molfetta : le plan vert ne peut être reporté pour éviter de nouveaux dégâts



MOLFETTA – Après le dépôt à la Commune de Molfetta, plus de 1600 signatures de citoyens, demandant la suspension immédiate de l’abattage des pins de la Via Don Minzoni et des arbres du Parc Levante et la convocation immédiate d’une table de discussion entre les Citoyens et le Administration Municipale, le mouvement politique Rinascere intervient également et informe que certaines forces, mouvements et associations politiques et sociales se sont jointes à cette demande, demandant à participer à la table. Parmi eux, le mouvement politique Rinascere et le conseiller municipal Felice Spaccavento. Il peut être utile de rappeler que les projets des deux lots de travaux, le réaménagement du Parco di Levante et de la Via Don Minzoni, remontent respectivement à 2020 et 2021. L’intervention dans son ensemble fait partie du Programme National Innovant pour la Qualité. de Vie, financé sur les fonds du PNRR. Nous regrettons de constater qu’en effet, l’implication des citoyens a été très insuffisante dans la planification de cette intervention destinée à révolutionner le visage de la Via Don Minzoni et à rendre enfin à nouveau utilisable le parc Levante. Nous vous rappelons une réunion citoyenne peu avant l’approbation par le conseil, jeudi 25 février 2021, à 10 heures. Combien de travailleurs peuvent participer à une réunion à 10 heures ? Le projet n’est même pas passé par la discussion en Conseil municipal (sauf très rapidement, en décembre 2022, pour l’approbation d’un complément de financement). Cela n’a aucun sens de convoquer une réunion en février 2024, quelques jours avant l’ouverture du chantier, alors que le projet exécutif avait été approuvé et publié plusieurs mois plus tôt. Nous restons perplexes et attristés par les solutions techniques adoptées : étant donné l’énorme financement impliqué, l’abattage des pins cinquantenaires est-il vraiment le seul moyen de réparer les trottoirs et la chaussée de la Via Don Minzoni ? En tant que Movimento Rinascere, nous faisons nôtres les demandes des citoyens auto-convoqués au Comité : un moratoire sur l’abattage des arbres et, surtout, une discussion et une adoption rapides d’un Plan pour la conception, la gestion et l’entretien de la verdure urbaine. Molfetta, en effet, ne s’est pas encore dotée d’un plan vert indispensable. Enfin, concernant la sécurité des infrastructures routières, on s’étonne d’une grave omission. Dans les plans du projet, librement accessibles parmi les appels d’offres de la Ville Métropolitaine de Bari (et non sur le site Internet de notre Municipalité), il n’y a aucune trace d’une quelconque intervention pour sécuriser le tristement célèbre carrefour entre via Don Minzoni, via Gen. Amato et via F. Carabellese, théâtre d’accidents fréquents. C’est ici qu’en 2008, un de nos jeunes concitoyens a perdu la vie. Nous espérons que l’Administration ne laissera pas passer cette opportunité et, dans le cadre du “réaménagement”, elle résoudra également ce problème de sécurité séculaire, à proximité immédiate de la crèche municipale. « Nous nous sommes habitués à considérer les arbres et la verdure urbaine comme de simples meubles, des compléments esthétiques qui se déplacent d’un côté à l’autre des rendus » – déclare Felice Spaccavento, conseiller municipal de Rinascere – « Nous n’avons pas compris que nos villes deviennent fours en été et piscines les jours de pluie. Les arbres, en plus de purifier l’air que respirent nos enfants (et même dans le cas de la Via Don Minzoni, la capacité d’absorption du CO2 n’a pas été calculée), ils produisent de l’ombre et calment donc la chaleur estivale. Et ce n’est pas tout. Les arbres, comme toutes les surfaces perméables, contrecarrent efficacement le risque hydraulique auquel nous sommes de plus en plus soumis : les fameuses bombes à eau. Nous devons commencer à penser nos villes différemment : le vert n’est pas un luxe. C’est essentiel. Lors des séances budgétaires, nous nous battrons également pour cela.”

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