Ilaria Salis, les occupations (illégales) des maisons d’Aler et la dette de plusieurs dizaines de milliers d’euros

Du passé de Ilaria Salis, candidate aux élections européennes avec les Verts et Alliance de gaucheémerger années d’occupations illégales dans des logements sociaux à Milan. Selon un contrôle effectué par Courrier dans les bureaux d’Aler, il semble une entrée illégaleréalisé par «effraction de la porte avec extraction du cylindre de serrure» (comportement non directement attribué à Ilaria Salis) d’un logement via Borsi 14, au deuxième étage de Scala E, le 1er décembre 2008. A cette occasion, le militant actuellement jugé en Hongrie pour l’attaque contre deux néonazis en février 2023 a été identifié avec “deux mineurs”. Il apparaît, dans les bureaux d’Aler, également unintrusion avec des méthodes similaires dans une maison de via dei Cinquecento, à Corvetto.

D’après ce que rapportent les journaux Le journal Et Librele Lombard de 39 ans actuellement assigné à résidence à Budapest, a obtenu un dette de plusieurs dizaines de milliers d’euros auprès d’Aler, la société régionale qui gère les logements sociaux pendant les années d’occupation illégale de deux appartements à Milan. En ce qui concerne l’appartement de via Borsi, une zone où l’influence des militants des réalités milanaises rivales est forte, les arriérés à payer à Aler s’élèveraient à la somme de 90 mille euros. Mais en 2022, Salis elle-même, qui avant d’être arrêtée travaillait comme enseignante précaire dans des lycées milanais, aurait été expulsé d’une maison dans le quartier de Corvetto, périphérie sud-est de la capitale lombarde. «Je n’ai pas l’intention de répondre, j’ai déjà poursuivi en justice les deux journaux en question pour d’autres fausses nouvelles déjà répandues à mon sujet. C’est ainsi qu’il s’est exprimé Roberto Salis à propos des nouvelles diffusées sur le passé de sa fille par Libre Et Le journal.

Sur l’état actuel d’Ilaria Salis, e l’éventuel transfert de la zone à l’ambassade d’Italie, demandé par celle-ci pour “raisons de sécurité”était plutôt prononcé Ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani. «Il faut que ce soit l’autorité judiciaire hongroise qui s’en charge et ensuite il faudra voir si cela est possible d’un point de vue logistique parce que l’ambassade d’Italie en Hongrie n’est pas exactement une zone extraterritoriale, mais c’est comme si elle l’était, c’est donc comme si elle était assignée à résidence en Italie”, a-t-il déclaré à Agorà sur Rai3. “En ce qui concerne sa sécurité, nous avons fait tout notre possible et avons exhorté le gouvernement hongrois à agir avec fermeté”, a-t-il ajouté.

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