Cinq mille personnes clôturent la campagne électorale de Ferdinandi

Cinq mille personnes clôturent la campagne électorale de Ferdinandi
Cinq mille personnes clôturent la campagne électorale de Ferdinandi

Cinq mille personnes pour la clôture de la campagne électorale de Vittoria Ferdinandi

« Ce soir est la digne conclusion d’une campagne électorale extraordinaire, menée maison par maison, rue par rue, en dialogue avec les citoyens, avec confiance dans les batailles que nous avons menées, dans les propositions que nous présentons ». Ce sont les paroles de Vittoria Ferdinandi à la fin de sa campagne électorale qui s’est déroulée sur la Piazza IV Novembre. Et ce n’est pas un hasard si les mêmes mots ont résonné dans la bouche d’Enrico Berlinguer, précisément le 7 juin, mais il y a 40 ans, depuis la scène de son dernier rassemblement. C’est une émotion très forte que vous m’avez donnée, que nous nous sommes donnée dès le premier jour. Lors du premier événement Capitini, je t’ai promis de t’emmener à la mer. Aujourd’hui, je réalise que la mer est déjà là. Une mer de personnes qui me donne la mesure du miracle que nous avons accompli. Ensemble, nous sommes et continuerons d’être une douce révolution, comme l’écrit le beau livre de Dacia Maraini. Parce que la gentillesse, avec la beauté, sont l’antidote pour sauver le monde, notre communauté, notre Pérouse. Et nous, dans cette belle campagne faite d’écoute, de câlins, d’idées, de participation, de sourires et de larmes, avons été guidés par la bienveillance, l’amour, la joie et l’envie. Des espoirs individuels qui deviennent des projets politiques communs !



« Nous avons osé l’impossible, défiant les pronostics – dit Vittoria Ferdinandi. Nous avons réveillé l’âme de cette ville complexe et stratifiée. Qui est celle de l’acropole et celle des Ponti, ces hameaux et celle du centre. Nous l’avons traversé au loin, parcourant des centaines de kilomètres à pied. Quel que soit le rôle qui nous attend à partir de lundi, je tiens à dire que Pérouse doit être aimée et non utilisée. Pérouse doit être servie avec amour et générosité car c’est le plus grand honneur qu’un Pérugien puisse recevoir. Nous voulons changer cette ville et pas seulement la gouverner. La beauté de notre voyage a été d’aller avec le sourire vers les gens, les contradictions, les besoins et les manques, sans crainte. Accueillir l’autre comme une opportunité et non comme un problème. Pour nous, la singularité et la diversité sont un atout. Nous n’avons pas été affectés par les indignités que nous avons subies et que nous avons dû endurer. Ils ne font que définir le niveau humain de certaines politiques et de certains êtres humains. Nous avons le regard tourné vers le ciel. Nous sommes un peuple libre et fier, nous n’avons pas de chaînes. Et c’est cela – conclut-il – qui effraie le plus les autres. Mais nous sommes une multitude, une force imparable. Nous sommes le destin de cette ville. »


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