G3 Flats Service Fortitudo Bologne

Flats Service Fortitudo Bologne – Trapani Shark 64-59

Qu’est-ce que tu attends, Electra. Et aussi Al Pacino, évoqué sur les réseaux sociaux à Trapani par le président avec le discours de Tous les foutus dimanches. Et en fait, étant vendredi, ça ne marche pas. Fortitudo prolonge la série en précisant que le sport est aussi l’existence d’adversaires qui tentent de mettre des bâtons dans les roues de complots actuellement précipités, avec derrière eux une épreuve de solidité monstrueuse. Là où le match aurait dû être gagné, puisqu’il n’y avait presque rien en attaque, de la part d’une équipe qui n’a pas de repères et ne peut s’appuyer que sur un Bolpin passionnant. Trapani n’est jamais en avance, ils réessayeront. Mais pour l’instant, ils n’ont toujours rien à célébrer.

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Contrairement à ce que certains craignaient, l’équipe et les supporters de Trapani sont entrés au Paladozza en toute tranquillité, sans se faire battre et, en effet, avec des échanges de chants d’estime respective. Lanceur de bannière d’encouragement pour Aradori, puis on commence avec beaucoup de Fortitudo et du petit Trapani. Bolpin marque un triple, Gentile se libère presque immédiatement, la défense harponne tout ce qui peut l’être et avec 6 3-points en 10′ il est normal de terminer le quart-temps devant 25-11.

L’ancien rival Bragaglio “réhabilité” avec une bannière en comparaison, la Graziella était un joyau, seule référence cursive aux monologues de la direction de Trapani, le match devient plus équilibré : Gentile revient pour un court instant, mais le problème de Fortitudo et l’attaque restent bloqués au fur et à mesure que les bancs tournent. Heureusement que les autres ne l’utilisent quasiment jamais, et quand ils démarrent, heureusement la sirène arrive pour faire office de gong pour ceux qui étaient un peu inquiets. Et 34-26 à 20′.

Avec Freeman bien pris en charge et Ogden qui ne peut servir que de soutien en attaque ou presque, il faudra des efforts défensifs titanesques, puis espérer, de l’autre côté, en Bolpin seul. Aucun des deux n’accélère, Maestro Canello n’approuverait pas, mais c’est Trapani qui a un peu plus de dynamisme. Alors que Pullazi manque de peu -2 à la sirène, 48-43 à la 30′.

Les horreurs de certains changements rendent Caja fou, et il ne trouve pas de saint devant qui il puisse vraiment voter. L’impression est celle d’une équipe de football essayant désespérément de défendre son avance de 1-0, et l’oxygène (et +8) venant de Panni et Morgillo fait beaucoup de choses. Bras collectif, Rocky et Apollo qui ne tiennent plus debout, et des gifles qui font mal mais ne tuent pas pendant un moment. Bolpin marque cependant +4. Freeman arrête Alibegovic et la fête est reportée. Il va s’en accommoder.

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