Tarifs des déchets, le TAR est d’accord avec la coopérative des baigneurs – Teramo

Tarifs des déchets, le TAR est d’accord avec la coopérative des baigneurs – Teramo
Tarifs des déchets, le TAR est d’accord avec la coopérative des baigneurs – Teramo

ROSERAIE. Tarifs déchets 2023 : le TAR accepte le recours proposé par la coopérative balnéaire Roseto-Pineto, l’association Roseto Incoming contre la Commune de Roseto, l’Agir (Autorité Intégrée des Déchets Urbains de la Région des Abruzzes) et Diodoro Ecologia et annule les mesures adoptées en à cet égard par la Municipalité. “Les recourants ont demandé l’annulation”, lit-on dans l’arrêt signé par le président Germana Panzironi et les conseillers Mario Gabriele Perpetuini Et Maria Colagrande« de la résolution du 30 mai 2023, avec laquelle le conseil municipal de Roseto a approuvé le plan économique et financier du Tari 2022-2025 (avec révision extraordinaire pour 2023), de la résolution du 30 mai 2023 avec laquelle le conseil municipal a approuvé le plan tarifaire Tari pour 2023, et la détermination du 18 mai 2023, par laquelle le directeur général d’Agir a validé la révision extraordinaire du plan économique et financier pour la détermination du Tari de la Commune de Roseto”.
Selon les requérants, qui avaient adhéré l’année dernière à une collection séparée indépendante, le quota fixe du Tari est dû mais le quota variable a dû être révisé car ils ont en fait adhéré à une collection autonome. «Les requérants se plaignent du déplacement de près de 900 mille euros du tarif variable vers le tarif fixe», lit-on dans la phrase concernant le deuxième motif de recours, «ce qui aggrave la charge qui pèse sur eux car cela n’est pas proportionné à la réalité production de déchets et de nature à annuler une grande partie de la réduction tarifaire obtenue par les opérateurs, qui font appel à un gestionnaire privé avec la réduction, établie par le juge des impôts, de 20 pour cent de leur obligation de payer le tarif variable”.
La sentence précise également que la Commune a contesté l’irrecevabilité du recours en raison de la « contestation tardive de la décision Agir publiée le 18 mai 2023 » mais le TAR a décrété que « l’objection soulevée par la Commune n’est pas fondée ». Le TAR, en plus d’accepter le recours et de prononcer l’annulation des mesures contestées par les requérants, condamne la Commune à payer aux requérants les frais de justice, qu’elle fixe à 2 mille euros. Il faudra désormais que la Commune décide de faire ou non appel au Conseil d’Etat.
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