Les habitants de Gela votent pour une ville normale… – il Gazzettino di Gela

Les habitants de Gela votent pour une ville normale… – il Gazzettino di Gela
Les habitants de Gela votent pour une ville normale… – il Gazzettino di Gela

Nous votons. Après une campagne électorale enflammée, le silence est tombé aujourd’hui. Silence électoral. Aucun des candidats au poste de maire et au conseil municipal ne peut organiser de rassemblements ou promouvoir des réunions. C’est désormais aux citoyens d’exprimer leurs préférences, avec un maximum de liberté et sans conditionnements. Un vote libre. Et le vote ne sera pas inutile, comme certains pourraient le penser. Voter est un droit et un devoir civique.

Tout comme c’est un droit (et un devoir) pour ceux qui dirigeront Gela pendant les cinq prochaines années de rendre la ville tout simplement normale. Vous ne demandez pas la lune, vous demandez de vivre dans une ville qui offre et où les habitants n’ont pas à mendier ce qu’ils méritent. De droit. Parce que c’est un droit d’avoir de l’eau tous les jours ; parce que c’est un droit d’avoir un hôpital efficace ; parce que c’est un droit d’avoir des routes qui ne se réduisent pas au Gruyère ; parce que c’est un droit d’avoir une ville propre ; car c’est un droit de garantir un endroit où les enfants peuvent jouer en toute sécurité. Parce que c’est un droit de vivre dans le respect de la loi !

Il y a trop de promesses que nous entendons depuis de nombreuses années ; Celui qui s’est présenté à la mairie a toujours soutenu et souligné que tout allait changer. Et l’homme de Gelato l’a cru et a ensuite changé d’avis. Aujourd’hui et demain, ceux qui voteront devront exprimer leur préférence pour un seul objectif : le bien commun afin d’orienter Gela vers une meilleure position que celle actuelle. Trop de lacunes partout (ceux qui ne les voient pas sont sur le point de passer un examen de la vue approfondi par un bon !) ; ceux qui prétendent que rien ne s’est passé démontrent qu’ils n’aiment pas leur ville et qu’ils regardent exclusivement leur propre jardin ; ceux qui blâment les autres feraient bien de se frotter la conscience. Il ne s’agit pas de chercher qui a fait quoi (mieux vaut dire pas fait ou peu fait) ; il s’agit de changer de registre. Le gars de Gelato ne mérite pas d’être dupé une énième fois. Le regretté Giovanni Falcone l’a dit : « les actions comptent, pas les mots. Si nous devions accorder du crédit aux discours, nous serions tous bons et irréprochables. »

Bonne note à tous.

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