‘Gotti’, voici le dernier épisode. Offre valide, gestion par Libertas

‘Gotti’, voici le dernier épisode. Offre valide, gestion par Libertas
‘Gotti’, voici le dernier épisode. Offre valide, gestion par Libertas

Le long feuilleton lié à l’attribution du terrain d’athlétisme historique « Carlo Gotti », via Campo di Marte, est désormais terminé. Le Conseil d’État a en effet rendu l’arrêt qui confie l’équipement municipal à la gestion de Libertas, l’entreprise commerciale fondée il y a quelques années mais immédiatement très active, la retirant ainsi de fait à Edera, l’association qui a toujours été au chef de « Gotti », annulant le jugement du TAR auquel Ivy elle-même avait fait appel en première instance après avoir perdu sa « course » en participant à l’appel d’offres municipal.

Le Conseil d’État, avec le jugement publié il y a deux jours, a donné raison à la municipalité de Forlì, n’ayant pas considéré l’extension applicable – prévue par la loi dans le décret Milleproroghe – parce que l’avis de l’administration avait été émis avant la loi d’extension et parce que le la concession n’avait pas expiré à la date d’entrée en vigueur du Milleproroghe uniquement en raison d’une soi-disant «prolongation technique».

« De même, les juges administratifs de dernier ressort – lit-on dans un communiqué de Libertas, la société qui avait remporté l’appel d’offres de la municipalité pour la mission de gestion, qui a ensuite été « suspendu » par le Tribunal administratif régional – ont également déclaré totalement infondées toutes les autres objections qu’Edera Forlì avait soulevées contre l’action administrative municipale : aucun conflit d’intérêts de la part de la présidente de Libertas Atletica Forlì (Sara Samorì) pour son rôle de conseillère municipale de l’époque et pleine légitimité dans l’attribution des scores pour le offre technique qui avait vu la proposition d’Edera rejetée. Enfin, la pleine capacité du groupe Libertas également d’un point de vue opérationnel grâce aux expériences de gestion acquises avec SportCity”.

Le point de vue du groupe lauréat de l’appel d’offres est également exprimé par l’avocat Christian Zovico, du barreau de Vicence, qui assiste depuis trois ans Libertas Atletica Forlì dans le long conflit avec Edera précisément pour les différentes questions liées à la gestion. de Gotti, d’abord pour l’offre de cession, puis pour les différents recours. « Déjà l’année dernière – explique l’avocat vénitien – nous avions exprimé un fort scepticisme sur la façon dont le TAR de Bologne, dans toutes ses décisions de l’époque, indépendamment de toutes circonstances, avait choisi de récompenser tous les directeurs d’usines sans distinction avec la prolongation légale à la fin. de 2022. Nous avions en effet ordonné à la Commune de Forlì de proposer le recours au Conseil d’Etat, précisément pour les mêmes raisons avec lesquelles le Conseil d’Etat a désormais pleinement souscrit à l’action administrative communale”.

Les juges administratifs du deuxième degré ont reconnu qu’un appel d’offres était en grande partie en cours et Edera avait implicitement renoncé à la prolongation légale dictée par le Milleproroghe avec le dépôt de la demande de participation neuf jours après son entrée en vigueur. « La décision d’appel reconnaît – conclut l’avocat Zovico – comment le recours au TAR dell’Edera a été fait seulement à la suite du résultat de l’appel d’offres dans lequel la commission avait jugé très positivement le projet de gestion de Libertas et avait rejeté sa demande ».

Edera, en tant que partie perdante, a également été condamnée au double paiement des frais des deux niveaux de jugement,

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