Immigration clandestine, maxi procès à Padoue pour Giorgio Ronzani et environ soixante-dix étrangers

PADOUE – L’abogado Giorgio Ronzani (avocat diplômé et agréé en Espagne) s’est retrouvé à nouveau en difficulté. Le Gup Claudio Marassi, comme l’a demandé le procureur…

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PADOUE – L’avocat Giorgio Ronzani (avocat diplômé et agréé en Espagne) s’est retrouvé à nouveau en difficulté. Le Gup Claudio Marassi, à la demande du procureur Benedetto Roberti, l’a renvoyé devant le tribunal le 12 novembre avec trois autres Italiens et environ soixante-dix étrangers. L’accusation la plus grave est celle de complot criminel visant à aider et encourager lesimmigration clandestinesuivi du mensonge matériel et idéologique.

Cependant, le poste de Mirko Borini, résidant à Fiesso Umbertiano, a été supprimé et a été condamné à 2 ans et 6 mois de prison abrégée. Les autres Italiens qui seront jugés sont Gianluca Coccia et Pier Paolo Cavestro de Porto Viro, ainsi que Michele Novello de Monselice. Tous les autres accusés étrangers, pour la plupart des Nigérians, mais aussi des Chinois, domiciliés à Padoue, Rovigo, Venise, Vicence, Trévise, Ferrare, Parme, Ravenne et Rimini, ont été accusés à divers titres de faux idéologique et matériel.

L’enquête

Le 6 novembre 2020, le Bureau de l’Immigration de la préfecture de police de Padoue a communiqué à la Flying Squad que lors des contrôles des permis de séjour, il y avait des doutes sur la situation de certains Nigérians qui travaillaient à Quarto d’Altino (Venise) et à Adria. Sur douze postes, 77 fausses embauches ont été découvertes. A l’occasion des premières visites d’inspection réalisées en collaboration avec les inspections territoriales du travail de Venise, Rovigo et Ferrara dans les entreprises identifiées (ayant leur siège et leurs unités locales dans les localités d’Adria, Porto Tolle, Lendinara et Fiesso Umbertiano, Quarto D ‘Altino et Codigoro), l’absence totale de locaux et d’employés a été constatée. Aucune des activités déclarées (commerce de gros de viande fraîche, congelée et surgelée, aquaculture en eaux de mer, saumâtres ou de lagon, traitement et revêtement des métaux et commerce de gros de matériaux de construction) n’a été constatée effectivement exercée.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Le Gazzettino

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