L’histoire des deux sangliers destinés à l’abattage, mais sauvés (pour l’instant) par un appel au TAR ligure partant de Novare

L’histoire des deux sangliers destinés à l’abattage, mais sauvés (pour l’instant) par un appel au TAR ligure partant de Novare
L’histoire des deux sangliers destinés à l’abattage, mais sauvés (pour l’instant) par un appel au TAR ligure partant de Novare

PIÉMONT – Le Tribunal Administratif Régional a suspendu l’ordre d’abattre deux sangliers, acceptant le recours présenté par le Refuge Miletta, basé dans la zone de Novare.

Histoire

Le refuge Agrate Conturbia, près de Novare, avait déposé un recours auprès du Tribunal administratif régional de Gênes pour sauver la vie de deux sangliers qui, après avoir été inscrits par l’ASL génoise sur la liste des animaux à tuer pour éviter la propagation des maladies. comme le Cochon de la Peste, ont été accueillis par un particulier (nommé Giordana) à Bargagli, en Ligurie. Les gestionnaires du Sanctuaire avaient immédiatement pris la cause à cœur et avaient fait appel à la Cour, soutenant que les deux sangliers étaient en bonne santé.

Pour cette raison, l’avocate Angelita Caruocciolo a été embauchée, qui a obtenu ces derniers jours du juge un “décret monocratique urgent« . Il s’agit d’une disposition qui est prise par le juge seul, c’est-à-dire sans consulter le collège comme l’exigerait la procédure, et qui a un effet immédiat ; cette procédure est mise en œuvre “dans des cas d’extrême gravité et d’urgence, comme par exemple ne pas autoriser de prolongation jusqu’à la date de la chambre du conseil”. Dans ce cas, l’urgence était la vie ou la mort des sangliers.

Le choix du TAR

La décision du juge, explique l’avocate Angelita Caruocciolo, « tient particulièrement compte de la bonne santé de sangliers, une condition ignorée par l’ASL, et donc considérée comme il n’y a aucun danger pour la communauté compte tenu des dommages irréparables causés aux animaux.

La mesure d’abattage vient seulement d’être suspendue, dans les prochaines semaines on discutera du contre-interrogatoire proprement dit qui pourrait annuler ce que le Refuge et Caruocciolo définissent comme “l’exécution de la peine capitale”.

Nous attendrons donc la confirmation du décret en chambre du conseil par un collège de juges réunis autour fin juin.

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