Arrêtez le cC6O4 dans le Chemical Hub. Pour les commissions et groupes de citoyens, une « première étape » qui n’apporte pas toutes les réponses

SPINETTA MARENGO – Lo arrêt de la production et de l’utilisation du cC6O4 dans tout le pôle chimique imposé par la province d’Alexandrie jusqu’à ce que les problèmes ayant conduit aux pertes soient résolus et que les limites fixées par les autorisations soient dépassées “un premier pas” pour ceux qui luttent depuis longtemps contre la pollution de Fraschetta et qui pourtant n’ont pas donne des réponses à toutes les questions posées par les commissions et les groupes de citoyens.

Pour le Comité Stop Solvay avertissements”nuire raison à ceux qui se battent depuis des années pour la protection du territoire et de la santéet » et pour ce que le Comité considère «une vérité que nous voulions garder sous silence.” Avec les mesures adoptées vendredi, les institutions auraient “en supposant que le centre chimique est un tamis, incapable de contenir les poisons qu’il produit” mais les avertissements laissent toujours sans réponse certaines des questions posées par le Comité Stop Solvay, notamment celles sur calendrier de divulgation des données relatives à la pollution par Arpa à ceux destinés à Province * ANTIBES FRANCE sur le renouvellement de l’Autorisation Environnementale Intégrée: “Arrêté depuis janvier 2022 malgré l’expiration de l’AIA de Solvay en 2020″, souligne le Comité. Les avertissements adressés à Solvay sont donc considérés comme une première étape” d’un chemin Que Cependant, pour le Comité d’arrêt, Solvay doit continuer vers “la fermeture de l’usine et l’assainissement de toute la zone polluée« .

La nouvelle de la suspension de la production et de l’utilisation du Cc6o4 dans le Chemical Hub a incité certains “réflexions” aussi Anémos, un autre groupe de citoyens déterminés à protéger la santé contre la pollution à Alexandrie et Fraschetta : “Tout d’abord On se demande s’il est possible que ces interventions aient été prises suite au signalement par des citoyens à l’ARPA de la présence de mousse sur la Bormida et non par le contrôle des organismes chargés d’inspecter ces rejets., lit-on dans le communiqué. Ànemos se demande alors, et demande, si le temps qui s’est écoulé entre le 17 mai, jour de l’analyse d’Arpa, et le 7 juin, date à laquelle l’avertissement de la Province a été émis, aurait pu “empêché toute intervention protectrice immédiate des citoyens”. Pour le groupe de citoyens »Santé” ce doit être “toujours en premier” et aucun compromis ne doit être accepté »juste pour travailler » :Parce que lorsqu’une entreprise, comme cela est arrivé à Miteni en Vénétie et à bien d’autres en Italie, décide de partir, nous voilà, travailleurs et citoyens, exposés aux polluants.« . Ànemos a donc lancé un appel aux institutions et aux syndicats pour “l’œuvre qu’il faut protéger” c’est ce que « garantit aux travailleurs et aux citoyens de continuer à vivre une vie saine » et renouvelé la demande d’avoir des protocoles pour les médecins généralistes et une biosurveillance adéquate pour les tests PFAS : “Également trouvé dans l’air», a rappelé Anemos.

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