National Fiom-Cgil – Groupe Arvedi. Fiom : Reprendre les investissements dans toutes les usines et poursuivre les discussions sur le plan industriel d’Ast Terni

National Fiom-Cgil – Groupe Arvedi. Fiom : Reprendre les investissements dans toutes les usines et poursuivre les discussions sur le plan industriel d’Ast Terni
National Fiom-Cgil – Groupe Arvedi. Fiom : Reprendre les investissements dans toutes les usines et poursuivre les discussions sur le plan industriel d’Ast Terni

« Ces derniers jours, la Fiom nationale, les représentants syndicaux paritaires du Groupe Arvedi et les structures locales de la Fiom impliquées se sont rencontrés pour la première fois à Crémone.

Arvedi, avec 6.600 travailleurs, est le deuxième groupe sidérurgique italien après l’ancien Ilva, certainement du point de vue technologique et de variété de production, l’un des plus avancés d’Europe et du monde. Elle produit environ 5 millions de tonnes par an d’acier laminé plat sous différents types, notamment des tubes et des pièces forgées. Elle vend et produit également des aciéries à fours de laminage électriques brevetées dans diverses régions du monde.

En tant que Fiom, nous sommes la première organisation représentative du Groupe, en termes de nombre de délégués et de présence syndicale dans toutes les usines.

L’initiative a permis d’entamer une première discussion sur la situation du groupe, des usines ainsi que sur les stratégies industrielles, les investissements et les enjeux critiques.

De la journée de discussion entre les délégations, ce qui est ressorti, comme nous l’avons toujours soutenu, c’est l’importance des investissements technologiques pour aborder non seulement les questions de productivité et d’efficacité, mais surtout les questions de santé et de sécurité des travailleurs et de l’environnement. .

Nous pensons donc qu’il est important que les discussions sur le projet industriel d’Ast Terni et sur les garanties des investissements publics et privés reprennent le plus rapidement possible. Trop de temps a passé, l’accord-programme est resté dans le silence des institutions, du gouvernement et des entreprises pendant plus de deux ans. Il y a 2 400 travailleurs directs, ainsi qu’environ 1 500 autres secteurs connexes, qui attendent des réponses. Les ressources pour la décarbonation s’épuisent, disponibles seulement jusqu’en mai 2026, ressources que l’Italie n’a pas encore utilisées.

L’entreprise prend ses responsabilités et rouvre la discussion au niveau industriel et le ministre Urso convoque immédiatement les syndicats à Mimit.

Il faut accélérer la résolution de ce problème qui jette une ombre sur l’ensemble du Groupe, compte tenu du ralentissement des investissements dans tous les sites, y compris celui de Trieste, et d’autant plus à la lumière de ce qui se passe dans le domaine de la politique de l’énergie et de la ferraille. »

Loris Scarpa, coordinateur national du fer et de l’acier de la Fiom-Cgil, l’a déclaré aujourd’hui dans une note.

Bureau de presse national Fiom-Cgil

Rome, le 10 juin 2024

PREV nouveau tour vers la région du Molise
NEXT Le cauchemar des vols revient dans les quartiers résidentiels de Pérouse