l’art contre la dégradation La mer Tyrrhénienne

LIVOURNE. «Nous sommes satisfaits malgré le budget réduit par rapport à l’année dernière: une belle opportunité de revenir conquérir le marché au pinceau et au crayon». Fabrizio Razzauti c’est l’une des âmes de ce quartier pittoresque et multiethnique qui veut lutter contre la dégradation par l’art et la culture. Ici Garibaldi-Montmartre : aller simple. La place des artistes illumine le quartier pendant 3 jours grâce à l’initiative, dans sa troisième édition, qui met en avant le Comité Pontino San Marco avec la participation de la Municipalité. Trois jours de communauté. De la créativité. Mais aussi des ateliers historiques racontés lors du parcours participatif comme l’atelier Piero Mochi, la reliure Valentino Barachini, le luthier Antonio Ghezzani, l’atelier Torsi-Varallo, l’atelier Fabio Peloso et celui de Melania Vaiani.

Cette année, il y a 28 artistes protagonistes de l’imtemporaire : la fantaisie au pouvoir suivant un thème, “les canaux Médicis, la mer dans la ville”. Le premier prix « Garibaldi one way » est attribué à Lorenzo Dominici : sera le protagoniste d’une exposition personnelle à la galerie Extra Factory. Prix ​​spécial du groupe D’Alesio (500 euros) au peintre Antonella Lucchini. Le prix du Jury Populaires et Moins de 35 ans revient au jeune homme Matteo Pannocchia : lui une exposition personnelle au Studio Mochi et 200 euros. Mentionne un Paolo Pasquinelli, Elisabetta Paolini et Gabriele Venerdini.

«De nombreux citoyens – poursuit le photographe et commissaire Razzauti – demandent à répéter cet événement plus fréquemment et de manière permanente, mais il faut des bénévoles, des sponsors et beaucoup de volonté. L’affectation de certaines ressources à la Piazza Garibaldi, à la Piazza della Repubblica et à la Piazza XX Settembre doit être une priorité pour la nouvelle administration ainsi que pour l’ensemble du centre. Ils sont la carte de visite de la ville. Cet événement, ainsi que le déjeuner ethnique et les livres en mouvement, sont les principaux événements du Comité Saint-Marc Pontin qui s’active quotidiennement pour surveiller la place.

Fierté et désir de relancer le quartier avec des touches culturelles également pour Jacopo Suggi, historien de l’art, conservateur, journaliste qui fait partie de la commission artistique avec Piero Mochi (artiste), Isabella Staino (artiste), Giorgia Madiai (photographe, artiste) et Razzauti. «C’est un honneur pour moi de participer pour la troisième fois au jury de ce beau prix qui, à travers l’art, propose de nouveaux modèles d’être ensemble et de vivre une place, trop souvent au centre de l’actualité pour des événements non édifiants. ». Les moments de divertissement n’ont pas manqué, dédiés notamment à l’artiste Nicola Vukich. Avec une place pleine d’émotions et d’applaudissements pour les acteurs et les personnes impliquées, avec Silvia Garbuggino, Gaetano Ventriglia, Antonio Ghezzani. Puis l’intervention du critique d’art Carlo Pepi, les photos de Franco Catalucci, le montage vidéo de Lorenzo Costagliola, la 12ème édition de la chaire. «Une soirée passionnante – conclut-il Alessandra Carlesi, une des forces du Comité – Nous sommes satisfaits de la grande participation : petit à petit, nous acquérons une grande confiance, tout ce que nous faisons est dans le but de recréer une communauté, de l’humanité et un sentiment d’appartenance à ce quartier. Beaucoup snobent la Piazza Garibaldi, mais voir l’excellence sur la place apporter sa contribution est la plus grande victoire. Merci aux sponsors du groupe D’Alesio, Conad et de la pharmacie San Marco.”

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