Les photos de Paolo Pacini lors de la vente aux enchères caritative « Brevi di-stanze » aident les enfants trisomiques

Les photos de Paolo Pacini lors de la vente aux enchères caritative « Brevi di-stanze » aident les enfants trisomiques
Les photos de Paolo Pacini lors de la vente aux enchères caritative « Brevi di-stanze » aident les enfants trisomiques

Dimanche à 18 heures, une soirée-bénéfice au Palazzo delle Esposizioni de la Fondation Banca del Monte di Lucca clôturera l’exposition photographique « Brevi di-stanze (une ville à parcourir) » de Paolo Pacini. En effet, les œuvres seront reversées pour récolter des fonds pour les activités de l’association Aps “L’amour ne compte pas les chromosomes”. L’association est née en 2016 de l’union de quelques familles avec enfants trisomiques qui ont commencé à se réunir dans un but d’entraide et ont ensuite ressenti le besoin de créer une association, qui s’appuie aujourd’hui sur l’aide d’un réseau de bénévoles.

Il est possible de faire des offres à partir d’aujourd’hui, en laissant les données au Palazzo delle Esposizioni, ou directement dimanche à l’Auditorium.

Vendredi 21 juin à 17h45 l’événement “La ville vue par les enfants”, une exposition créée en collaboration avec Artebambini, qui racontera comment les enfants ayant participé aux ateliers autour de l’exposition “Brevi di-stanze (une ville à parcourir)” découvrez la ville de Lucques, à travers des photos et des commentaires. L’exposition, organisée par Paolo Bini, créée par la Fondation Lucca Sviluppo et avec le patronage de la municipalité de Lucca, Lucca Summer Festival, We Love Ph, Fiaf (Fédération italienne des associations photographiques), se poursuit avec entrée gratuite jusqu’au dimanche 16 juin, (horaires : mar/dim à 15/19h). Il est organisé en quatre sections : « L’intervalle des ombres » est l’histoire qui a commencé pendant la pandémie : depuis la fenêtre de la rédaction où travaille Pacini, donnant sur une place d’abord vide puis bondée, les ombres se déplacent en conséquence et sont capturé par le plan photographique. « Mura, l’oasis des oiseaux » : profitant de l’intervalle de la pandémie et du projet de corridors écologiques, la faune urbaine s’est également enrichie d’une nouvelle vie, autour des Murs historiques. « Visions urbaines en noir et blanc / Visions urbaines en couleur » : ici les murs, les monuments, les bâtiments historiques agissent comme un contrepoids immobile au flux du quotidien, entre pleins et vides, lumières et ombres, ambiances parfois oniriques ; « La ville de la musique Lucca – Lucca Summer Festival » : Pacini parle des grands noms de la musique du monde qui ont atteint son objectif au fil des années. Une série de citations accompagne le visiteur dans la lecture des clichés, des Rolling Stones à Alda Merini, en passant par Giuseppe Ungaretti, originaire de Lucques par ses origines et sa mémoire.

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