pic dans les cas de cinquième maladie et de coqueluche

Saison de grippe cette année ça semble ne jamais finir. Mais en réalité, ce qui menace la santé en ces derniers jours du printemps, ce n’est pas la grippe elle-même. L’ennemi est plutôt constitué de virus « cousins ​​», qui ont touché la semaine dernière environ 3 000 habitants de Salerne, principalement avec des symptômes respiratoires.

Dans la liste des « suspects habituels », on retrouve rhinovirus, virus parainfluenza, entérovirus, adénovirus, métapénumovirus et sars-cov-2. Ce sont les virus « cousins ​​» classiques de la grippe, typique des périodes de changement de saison, qui donnent des symptômes moins graves que la grippe, mais qui peuvent vous laisser au lit pendant quelques jours. Favorisés par les changements de température, ils sont extrêmement contagieux, notamment dans les lieux fermés et très fréquentés.

L’L’hygiène des mains reste essentielle. Rhume, mal de gorge, écoulement nasal, toux, les six virus de cette période provoquent majoritairement des problèmes respiratoires, mais aussi quelques problèmes gastro-intestinaux. La bonne nouvelle est que les problèmes disparaissent généralement en quelques jours. Chez les personnes fragiles ou âgées, elles peuvent ouvrir la voie à d’importantes complications bactériennes. C’est pourquoi les prescriptions d’antibiotiques augmentent à cette période.

A l’approche de l’été, la mauvaise nouvelle c’est qu’il reste encore deux semaines avant de voir la fin de cette longue traîne de maux. L’aide viendra également de la fermeture des écoles, ce qui réduira la circulation de ces agents pathogènes. Ce qui inquiète, en particulier les mères, ces dernières semaines, c’est l’essor du nombre d’enfants présentant « l’apparence des joues giflées », expression typique de la cinquième éruption cutanée de la maladie. En plus des joues rouge vif, qui se colorent soudainement sans aucun autre signe avant-coureur, un autre symptôme sont les points qui envahissent souvent d’autres zones du corps, notamment les bras. Pas d’alarme cependant car il s’agit d’une infection bénigne. Elle intervient notamment dans les communautés d’enfants, comme les classes d’écoles maternelles. L’enfant apparaît avec une rougeur sur les joues, comme s’il avait reçu deux gifles.

Comme la grande majorité des maladies exanthémateuses, la cinquième maladie ne nécessite qu’un traitement symptomatique: s’il y a de la fièvre, on utilise un antipyrétique, en cas de démangeaisons, on utilise un antihistaminique. Mais la majorité des enfants émergent sans avoir besoin d’aucun de ces médicaments. L’éruption commence sur le visage, l’infection se transmet par voie aérienne, par des gouttelettes respiratoires. Ensuite les points apparaissent également dans d’autres parties du corps : bras, tronc. Toutes ces conditions qui provoquent un afflux sanguin plus important vers la périphérie, les joues et les bras, avec un phénomène appelé vasodilatation, peuvent accentuer l’éruption cutanée. Ainsi, par exemple, l’exposition au soleil ou à des températures élevées. Il est donc déconseillé d’exposer les plus petits en phase de pointe. Il suffit d’attendre, en étant conscient que lorsque l’éruption cutanée apparaît, l’affaire touche déjà à sa fin.

La coqueluche est bien plus inquiétante, où l’on assiste à une résurgence de cas de cette infection causée par la bactérie Bordetella pertussis, même chez les très jeunes enfants. Par conséquent, la vaccination est recommandée, notamment lors des rappels, qui surviennent à 16 ans, à 26 ans, tous les 10 ans. Il est conseillé que cette bactérie circule le moins possible, car si elle circule et touche les nourrissons, ceux-ci peuvent se retrouver à l’hôpital. Pour le moment, la situation semble s’améliorer. Il y a quelques mois, c’était la phase la plus intense. Cependant, vous devez toujours garder votre attention élevée.

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