Cauchemar de l’Inter : ils ont laissé revenir deux buts, en ont encaissé cinq et ont dit au revoir au Scudetto

Cela méritait une série télévisée. La légende raconte que quelques Correspondants Netflix sont effectivement apparus sur le paillasson de Stade Del Conero… ce sera comme ça ? Mot aux commissaires. Une demi-finale absurde120 minutes jamais vu.

D’abord le générique, puis une photographie. Gabriel Garonetti couchés et en larmes, les mêmes versés il y a 354 jours. La promotion 2006 de l’Inter dit au revoir à un autre Scudettole deuxième consécutif : hier en finale contre Romeaujourd’hui en demi-finale contre Gênes (5-4). Ils n’étaient pas suffisants deux buts d’avance à la mi-temps (3-1 signé Venturini, Lavelli et De Pieri), un seul ne suffisait pas Matteo Zamarian en état de grâce (trois miracles sensationnels), ce n’était pas suffisant un but des trente mètres de Spinaccè dans la deuxième prolongation (des trucs jamais vus) et ce n’était même pas suffisant pouvoir jouer pour un match nulun résultat qui aurait garanti aux Nerazzurri l’accès à la finale. Gênes gagne et Gennaro Ruotolo gagne, protagoniste d’au moins quelques autres instantanés qui, à eux seuls, sentent l’histoire. Comme, comment Le but d’Arata alors que le temps est pratiquement écoulé, l’aube d’un rêve qui attend encore son apogée. Peut-être Jeudi contre un entre la Roma et l’Atalanta ? Peut être…

ILLUSION

De suite deux chefs-d’œuvre pour briser la glace, un de chaque côté en un quart d’heure impossible à oublier. Avant Inter (5′), d’abord une action chorale par définition. Il y a la signature des six onzièmes du propriétaire de Zanchetta (aperçus confirmés), dans l’ordre : Re Cecconi, De Pieri, Lavelli, Zanchetta, Castegnaro et Venturini. En gros, le premier se souvient qu’il est né latéral, le second plaisante sur Arata et bat Consiglio de la tête. Du deuxième au cinquième, la dévastation, rétrospectivement un indice de ce qui se serait passé peu de temps après. Mais Gênes en premier (15′), premier un chef d’oeuvre par définition: Le coin de Romano (fée à droite), le sommeil de Zanchetta, Deseri vole à droite.

L’équilibre dure peut-être encore cinq minutes, puis il se transforme en un simple illusion. L’attaque la plus forte d’Italie le brise, ce trident devenu aujourd’hui une comptine le brise : Pinotti, Les puits Et De Pieri. Ordre causal ? Non monsieur. Parce que le premier tâte le terrain près de Consiglio et ouvre la voie (20′), parce que le deuxième plaisante avec Arata et marque au vol (24′), parce que le troisième récupère Garonetti et trouve le corner (34′). Au milieu, roulement de tambour… toujours dévasté. Et si Ruotolo se repose “seulement” avec deux buts de retard je dois remercier Consigliomiraculeux et décisif sur Pinotti (20′ et 27′) et sur Zarate (28′).

DE TOUT

La domination de l’Inter est une autre illusion. Cela dure environ un quart d’heure, le temps d’entracte. Puis onze minutes qu’il convient de prendre et de préserver : parce qu’elles sont aux limites du réel, parce qu’elles sont capables de tout changer, de tout bouleverser. Ce n’est que partiellement le cas et oui, Matteo Zamarian n’a qu’un petit quelque chose à voir avec ça. Un miracle après l’autre: deux proches l’un de l’autre Roi Cecconi (toucher involontaire) e Grossi (9′ m), une en plus Ahanor (14′ m) et un autre, sensationnel et inoubliable Ékhator (20′ m). Dans les deux derniers cas, la barre transversale joue également un rôle majeur. Gênes crie “macumba”.

Mais quelque chose change de toute façon, Au contraire. Oui parce qu’au milieu le tap-in gagnant par Ekhator (12′ m), coucher de soleil de carte postale après une énième boiserie rossoblù, cette fois de Venturino. ET la dernière demi-heureouvert par le tir du pied droit de Tigani (26′ m), entrecoupé de la conclusion de Venturino (32′ m) et refermé par Tigani (42′ m)… ce n’est pas la dernière demi-heure. Carbone invente, Lattari termine et emmène le tout en prolongation (40′).

ENCORE

ET un autre jeu. Provisoire, incertain. La situation la plus confortable L’Inter l’a certainement, fort dans la possibilité de jouer le match nul. En outre, sur le terrain se trouve un certain Mosconi, choisi par Zanchetta avec Tigani, Spinaccè, Pavesi et Zouin. En revanche, Gênes ne peut que gagner, Il n’y a pas d’autre moyen. Et il se passe un peu de tout, notamment lors de la première des deux prolongations. Un but et un rouge, tous deux du côté des rossoblù : Venturino fait chanter Ruotolo (11’pts), Lattari reçoit son deuxième carton jaune et la supériorité numérique en vaut la peine pour l’Inter.

Cela dure quinze minutes, cela semble être toute une vie. Et à la fin, ils se terminent ainsi, avec la course folle d’Arata. A la dernière minute de 120 jamais vuaboutissant à une deuxième période supplémentaire qui donne la chair de poule. Le capitaine décidele capitaine décide moins de dix minutes après le but des trente mètres de Spinaccè, puis expulsé pour un deuxième carton jaune. Tout, alors. Ça se termine 5-4 et Gênes va en finale.

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LA FEUILLE DE SCORE (en cours de mise à jour)

INTER-GENOA 4-5
RÉSEAUX: 5′ Venturini (I), 15′ Deseri (G), 24′ Lavelli (I), 34′ De Pieri (I), 12′ st Ekhator (G), 40′ st Lattari (G), 11′ pts Venturino (G), 6′ m Spinaccè (I), 15′ m Arata (G).
INTER (4-3-3): Zamarian, Della Mora, Castegnaro, Zanchetta, Re Cecconi, Garonetti, Venturini, Zarate, Lavelli, De Pieri, Pinotti. Disponible Tommasi, Kangasniemi, Tigani, Fois, Mosconi, Pavesi, Spinaccè, Zouin, Vanzulli. Tout.
GÊNES (3-4-2-1): Consiglio, Venturino, Ahanor, Deseri, Arata, Barry, Dodde, Grossi, Ekhator, Romano, Carbone. Disponible Boschi, Corengia, Georgievski, Ghinassi, Lattari, Mavraj, Nuredini, Pagliari, Sancinito. Roue de boîtier.
ARBITRE: Guitaldi de Rimini.
ASSISTANTS: Scafuri de Reggio Emilia et Apollaro de Rimini.
QUATRIÈME HOMME: Châteaux d’Ascoli.

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