Terni, Cardinali répond à Aniello : « Des accusations infâmes. Je vais me protéger”

Terni, Cardinali répond à Aniello : « Des accusations infâmes. Je vais me protéger”
Terni, Cardinali répond à Aniello : « Des accusations infâmes. Je vais me protéger”

11 juin 2024 19:54

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L’accusation portée contre lui par la personne directement impliquée – l’ancienne conseillère municipale environnementale après sa démission, Mascia Aniello – est de l’avoir agressée verbalement à deux reprises, avec un contenu sexiste. L’accusé, comme l’a rapporté lundi le maire de Terni Stefano Bandecchi, est le conseiller pour le développement économique Sergio Cardinali. Lequel désormais, ayant également reçu la solidarité des autres membres du conseil municipal, répond directement. Et il le fait avec une note en début de soirée de mardi.

«En remerciant mes collègues du Conseil – déclare Cardinali – pour avoir clarifié les faits dont je suis injustement accusé par le conseiller démissionnaire, j’entends clarifier certains aspects de l’affaire qui a fait l’objet d’une honte publique à mon égard. Les divergences évidentes au niveau politique, concernant la question de la décharge et de l’accord du programme Ast, entre moi et le conseiller Aniello, ont été claires pour tous les sujets politiques et les citoyens de Terni ces derniers mois, car elles ont été largement rapportées dans les journaux et les réseaux sociaux. médiatique, et fait souvent l’objet de diverses questions de la part de l’opposition au conseil municipal. La preuve la plus claire est venue lors du vote du conseil sur la résolution visant à sécuriser le site d’enfouissement, au cours duquel le conseiller Aniello a décidé de voter contre le document signé par tous les autres, après l’avoir partagé et signé. Je considère que les accusations portées contre un conseiller générique sont absolument infondées, puis clarifiées publiquement par le maire qu’elles me concernaient. Comme je l’ai déjà dit dans la déclaration précédente des autres collègues du conseil – continue le conseiller Cardinali -, alors que nous discutions des stratégies politiques de l’affaire Ast, face à ma ferme défense de la ligne politique réalisée qui permet la coexistence du développement économique et industriel avec le milieu environnant, le conseiller Aniello m’a accusé devant tout le monde de défendre mes amis de l’aciérie, laissant entendre une relation floue dans mon travail administratif. Je tiens à souligner que cette déclaration du conseiller Aniello a été faite pour une deuxième fois, comme cela avait déjà été fait par le passé en présence de quelques conseillers seulement.

«À ce moment-là – poursuit Sergio Cardinali – j’ai répondu de manière ferme mais polie à cette accusation diffamatoire qui portait atteinte à ma moralité. Une réponse légitime face à une accusation aussi diffamatoire que gratuite, visant à discréditer le travail politique qui a abouti à l’élaboration de l’accord signé avec Ast par le maire de Terni. Il semble que ce soit une grave erreur d’utiliser de manière inappropriée des sujets qui sont un fléau pour notre société, comme le sexisme et la violence de genre, qui m’ont également considéré comme un protagoniste actif dans la lutte contre des comportements similaires au cours des 35 années de militantisme au sein du syndicat ( la CGIL, NDLR), également à travers des accords contractuels nationaux que j’ai fortement soutenus et signés. Face à tant de femmes victimes de violences et qui gardent le silence, soulever la question de la violence de genre pour pénétrer l’opinion publique à travers de pures spéculations politiques, en essayant de diaboliser les actions d’un collègue, aujourd’hui « opposant politique », est une grave erreur. De la même manière que dans un passé récent, je travaille aujourd’hui dans l’administration afin de trouver le meilleur équilibre entre travail, emploi et environnement, en évitant les problèmes sociaux et économiques qui découleraient d’une éventuelle fermeture de l’usine, comme préconisé à plusieurs reprises par le conseiller Aniello. Dans l’espoir de voir cesser immédiatement une telle infamie à mon égard, je me réserve le droit d’intervenir dans les lieux appropriés pour défendre ma personne et mon rôle politico-institutionnel.”

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