Prix, Marches vertueuses et Ancône restent sur le podium : c’est ce qui se passe

Prix, Marches vertueuses et Ancône restent sur le podium : c’est ce qui se passe
Prix, Marches vertueuses et Ancône restent sur le podium : c’est ce qui se passe

ANCONA Avec une inflation annuelle stable en mai à 0,8%, la dépense supplémentaire pour une famille italienne moyenne due à l’augmentation des prix à la consommation est de 188 euros. Mais dans les Marches, nous ne pouvons certainement pas nous plaindre, car grâce à une inflation inférieure à la moyenne nationale (0,5%), l’augmentation annuelle des prix pour une famille vivant dans notre région est estimée à 105 euros, soit 83 de moins que la norme nationale. Et même pour ceux qui vivent à Ancône, le coût de la vie a diminué par rapport à il y a un an, avec une économie de 44 euros pour la famille moyenne, grâce à une inflation négative (-0,2%) qui rend la capitale digne d’une région. le podium au classement des villes les plus capables de contenir le coût de la vie. C’est ce qui ressort d’une analyse de l’Union nationale des consommateurs qui, sur la base de l’inflation du mois de mai, a établi le top dix des villes les plus chères d’Italie par rapport aux capitales régionales et aux communes de plus de 150 000 habitants.

Aoste en tête

Dans le classement des villes les plus vertueuses d’Italie, se distinguent trois villes effectivement en déflation. En première position se trouve Aoste où l’indice des prix de -0,6% se traduit par la plus grande économie de 156 euros pour une famille moyenne sur une base annuelle. Médaille d’argent pour Campobasso (-0,5%, -104 euros), suivi d’Ancône (-0,2%, -44 euros), qui se confirme donc sur le podium.

La région des Marches fait également partie des régions les plus vertueuses, avec une inflation à 0,5% (contre la moyenne nationale de 0,8, septième place pour la maîtrise des dépenses), ce qui équivaut à une dépense supplémentaire de 105 euros pour les familles, soit 83 euros de moins que la moyenne nationale. . En tête du classement des régions les plus chères de l’Union des Consommateurs se trouve la Vénétie, avec une inflation annuelle de +1,3%, ce qui coûte à chaque famille une augmentation de 324 euros sur une base annuelle. Viennent ensuite la Toscane, où la croissance des prix de 1,1% «implique une hausse du coût de la vie de 272 euros», l’Émilie-Romagne arrive en troisième position (+0,9% et +237 euros). Les meilleures régions, même en déflation, sont le Val d’Aoste (-0,8%, avec une économie de 208 euros) et le Molise (-0,4%, -83 euros). Les Abruzzes occupent la troisième position, sans changement. Dans le top dix des villes les plus chères d’Italie, Parme et Rimini se disputent la suprématie avec une inflation de 1,6%, ce qui se traduit par une dépense annuelle supplémentaire de 435 euros. Viennent ensuite Venise, où les prix ont augmenté de 1,4% (369 euros de plus par famille).

La tranchée

Au contraire, Ancône résiste dans les tranchées pour contenir le coût de la vie. L’indice des prix à la consommation du mois de mai enregistré par l’Istat pour différentes divisions de dépenses montre une croissance de seulement 5 postes par rapport au mois précédent : loisirs, divertissement et culture (0,7%), services d’hébergement et de restauration (0,6%), boissons alcoolisées et tabac. (+0,2%), logement, eau, électricité et carburants (0,1%), services de santé et dépenses de santé (0,1%). Les communications (-0,9%), les transports (-0,7%), les meubles, articles ménagers et services (-0,1%) ont diminué. Zéro changement pour la nourriture et les boissons non alcoolisées, les vêtements et chaussures, l’éducation et autres biens et services.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Courrier Adriatique

PREV Corigliano-Rossano. Conflit Simet, le collège des juges du travail donne raison à Elda Renna
NEXT Messine, cérémonie d’ouverture de la Coupe italienne de Beach Soccer