Le Figaro raconte “La célèbre station balnéaire et ses trésors inattendus”

Le Figaro raconte “La célèbre station balnéaire et ses trésors inattendus”
Le Figaro raconte “La célèbre station balnéaire et ses trésors inattendus”

De la reine du tourisme balnéaire à un lieu riche en histoire et culture, respectueux de l’environnement et conscient du changement climatique. Comme pour dire : il y a plus au-delà de la plage.

Et le métamophorèse de Rimini raconté aujourd’hui par le journaliste Jean Tiffon sur l’édition en ligne de Le Figaro, le journal en ligne français le plus lu (24,5 millions de visiteurs uniques mensuels). Tiffon a été l’invité, du 16 au 19 mai, d’un parcours pédagogique à la découverte de la ville coordonné par Apt Servizi Emilia-Romagna, avec la collaboration de la Commune de Rimini.

«Grâce au dynamisme de la ville et à son double visage de station balnéaire historique et de ville d’art, expression de la grande beauté italienne et de la Dolce Vita – souligne leAndrea Corsini, conseiller régional du tourisme– les mots d’appréciation pour Rimini du premier journal en ligne de France, un pays qui a toujours tenu en très haute estime la culture et le tourisme, ne sont pas surprenants. Les travaux de réaménagement des fronts de mer que nous avons entamés fin 2019 se sont concrétisés et font parler de nous même au-delà des frontières nationales. »

“Rimini a bien plus à offrir que ses 15 km de sable très fin”, commence le journaliste dans l’article, avant de détailler le développement de la station, l’une des pionnières du tourisme balnéaire transalpin, du bord de mer La Belle Époque a commencé en 1843 jusqu’au tourisme de masse d’après-guerre, en passant par l’ouverture du Grand Hôtel historique, symbole Fellini par excellence.

« L’éclectisme architectural du front de mer de Rimini – continue l’article – raconte à merveille ces différentes époques : demeures en brique, immeubles Art nouveau, villas modernistes, bars d’hôtel géométriques ou établissements flashy aux allures de casino… Un délicieux catalogue de styles ! .

Le front de mer lui-même est le symbole de la nouvelle orientation de la localité, sur laquelle, souligne Tiffon, « l’actuel maire, Jamil Sadegholvaad, travaille avec vigueur et détermination », avec des interventions de piétonisation qui ont « banni les voitures » du sable, créant de nouveaux espaces de remise en forme et 15 km de piste cyclable dans le nouveau Parco del Mare. “Et le vélo est le symbole de ce changement, démontré également par l’arrivée de la première étape du Tour de France fin juin”. Laissant la mer derrière vous, il suffit de pénétrer dans le centre historique pour respirer la magnificence du passé romain et de la Renaissance de la ville, avec le pont de Tibère, l’Arc d’Auguste, la Domus del Chirurgo – et le Tempio Malatestiano et la Piazza Cavour avec le Palazzi Del Podestà et Garampi – tous décrits en détail dans l’article.

« Pour découvrir d’autres chefs-d’œuvre – suggère Tiffon – rendez-vous au Musée de Rimini, qui abrite un fascinant Jugement dernier de Giovanni da Rimini, mais aussi une vibrante Pietà de Giovanni Bellini ». Enfin, comment parler de Rimini sans évoquer la mémoire du grand cinéaste Federico Fellini ? Le reporter français définit “une scénographie aussi réussie que folle” le dispositif qui, à Castel Sismondo, l’un des locaux du Musée Fellini, rend hommage au Maestro de Rimini avec “des photos et des films, des costumes splendides et son Livre de Mon Rêves”. Arrêtez-vous ensuite à la Palazzina del Fulgor, autre lieu du Musée, puis “la promenade Fellini se termine à Borgo San Giuliano, un ancien quartier de pêcheurs où ont été peintes de nombreuses fresques inspirées de ses films”.

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