La tragédie de Simone au ‘Fab’. Le Parquet : « Entreprise négligente »

La tragédie de Simone au ‘Fab’. Le Parquet : « Entreprise négligente »
La tragédie de Simone au ‘Fab’. Le Parquet : « Entreprise négligente »

Pesaro, 12 juin 2024 – Ils n’auraient pas prévenu Simone Mezzolani des dangers qu’il a courus pour effectuer certaines opérations ni suivi de cours spécifiques pour garantir la sécurité sur le lieu de travail. C’est avec ces accusations que le parquet d’Urbino poursuit pour homicide involontaire contre le président du conseil d’administration de la “Fab” Luigi Sperandio et Roberto Alessandrini, avocat spécial de la société (également mis en cause) qui avait l’obligation d’informer, de former et de former les opérateurs de la plaqueuse de chants “dont la barrière de sécurité présentait – accuse le procureur – dans la zone de sortie des panneaux de la plaqueuse de chants – une garde fixe qui n’était pas suffisamment dimensionné et n’était pas ancré au sol, ce qui permettait aux opérateurs (et à toute personne passant sur place) de pénétrer facilement dans la zone dangereuse de la machine.

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Pour Luigi Sperandio, l’accusation est de ne pas avoir supervisé les travaux d’Alessandrini sans se soucier si ce dernier avait ou non formé et formé le personnel à l’utilisation de la machine qui s’est avérée mortelle pour Simone Mezzolani, un garçon de 33 ans, avec un partenaire et deux enfants de 9 et 3 ans qui ce soir-là du mois de mai dernier Le 27, ils l’attendaient à la maison pour jouer un peu en attendant d’aller se coucher. Mais Simone n’est jamais rentrée chez elle car la machine de dégonflage de type Fusion, numéro de série 90600025, l’a écrasé pendant qu’il la nettoyait, pensant qu’elle était désactivée. Mais ce n’était pas le cas. Et quant à la raison pour laquelle elle a recommencé à bouger, le parquet d’Urbino a confié hier la tâche à l’ingénieur Andrea Russo d’Ancône, appelé pour établir pourquoi la machine à cintrer les chants a écrasé et tué Simone Mezzolani.

Le magistrat veut savoir si la machine fonctionnait automatiquement ou manuellement en vérifiant si le système fonctionnait correctement fonctionnel ou avait souffert dommages mais en particulier si les systèmes de sécurité ont été activés ou désactivés. Une réponse doit être adressée au parquet dans un délai d’un mois. La veuve et les parents de Simone Mezzolani ont délégué une société d’accidents, Target compensation, pour les protéger pendant les phases d’enquête. Voici ce que nous ont écrit les avocats de la famille : “Nous avons désigné deux ingénieurs qui épauleront le consultant désigné par le procureur de la République.” La compagne de la victime, Chiara, déclare : “Malgré le désir de faire éclater la vérité, rien ne pourra combler le vide dans lequel nous sommes tombés et ramener le bonheur qui était là avant dans notre famille”.

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