Occhiuto a commis une erreur en nommant De Salazar

Gestion désastreuse de l’hôpital pivot de Cosenza : un appel au président Occhiuto

communiqué de presse

Le personnage est caractéristique : il a un nom évocateur des pirates des Caraïbes, un caractère despotique et maussade et on ne sait pas quelles compétences managériales il possède, s’il est vrai, comme c’est vrai, qu’il est entouré d’un important pléthore de consultants, autour du Trentin, à leur tour incapables de proposer quoi que ce soit de bon dans les domaines sanitaire, administratif et technologique.

Je suis désolé de le dire, mais Occhiuto a commis une grave erreur en nommant De Salazar à la tête de la Compagnie Hospitalière de Cosenza, évidemment peu judicieux, et je le répète aujourd’hui, le jour où les sélections pour la nomination du général CV du réalisateur, pour essayer d’éviter que répéter l’erreur.

Ce que j’écris est prouvé et corroboré par toutes les anomalies et dysfonctionnements de l’Annunziata qui démontrent clairement l’insuffisance de cette gestion des commissaires. J’ai souligné à plusieurs reprises au président Occhiuto que ses innombrables efforts et ses décisions ne suffisent pas à redresser le système de santé calabrais s’il maintient dans la chaîne de commandement ceux qui s’y opposent clairement, sciemment ou par incompétence.

Et cela s’applique à tous les niveaux.

Dans le plus grand hôpital pivot de Calabre, la situation est désormais dramatique et paradoxale (le pire hôpital d’Italie…..).

Nous nous plaignons du manque de médecins en Italie, mais à l’Annunziata nous continuons à faire tout ce que nous pouvons pour les accueillir. Les médecins partent en raison d’une gestion et d’une organisation irrationnelle et épouvantable de l’hôpital, des salles d’opération et du personnel soignant.

Les médecins disposent à peine d’espace et d’équipement, de lits et de personnel soignant, ils ne peuvent utiliser les salles d’opération qu’un jour par semaine et leur professionnalisme et leur autonomie dans la gestion du service sont continuellement mis à mal par ceux qui, entre autres, n’ont pas de compétences. , les manières, ni même une vision prospective de l’hôpital.

Les urgences sont alors réduites à un hôpital. Rien que des améliorations !

Demandez à tous ceux qui y sont allés récemment ! Les patients se sont entassés pendant des jours dans un espace de promiscuité et d’inefficacité, attendant qu’un lit se libère, priant pour ne pas trouver uniquement des médecins cubains de garde chez qui, malheureusement, même une simple procédure d’admission ou de sortie devient longue et compliquée.

L’inauguration de la nouvelle salle d’urgence, fruit du travail des directions précédentes, sera de peu d’utilité, étant donné qu’il n’y a pas de personnel soignant qui puisse la faire fonctionner.

Et même si les listes d’attente s’allongent, sous nos latitudes certains médecins hospitaliers continuent d’être autorisés à effectuer des visites exclusivement sous le régime « privé » d’intramoenia voire d’extramoenia, moyennant un tarif de 250 euros par visite.

Personne n’a soulevé la question du fait que les conditions pour autoriser l’activité privée des médecins hospitaliers n’existent plus et qu’il vaudrait peut-être mieux consacrer plus d’heures de service aux urgences et dans les services.

Il est donc clair que le chapitre de l’émigration sanitaire, qui continue de peser des centaines de millions d’euros par an sur le budget de la Région Calabre, est alimenté par des politiques de santé erronées et peu concluantes comme celles actuellement adoptées à Cosenza.

De Salazar continue de vanter de manière totalement insipide et dangereuse ses seuls succès apparents, en faisant par exemple référence au contrôle des dépenses, qui semble trouver sa panacée dans la réduction de 20% des dépenses en médicaments.

L’œuf de Colomb a été découvert par le super consultant polyvalent, diplômé en philosophie, qui est accompagné d’un groupe de consultants aux capacités non prouvées, dont certains sont des diplômés récents et avec leur première expérience, ont payé un total de millions , oui, des millions d’euros , avec l’argent des contribuables calabrais.

Dans ce cas, où sont passés le plan de relance et la révision des dépenses ?

Pour continuer à parler de gaspillage de ressources, il suffit de citer le cas du bâtiment, autrefois siège des bureaux du personnel, qui est complètement vidé de ses hommes et de ses choses pour laisser place à la fantaisie de créer à sa place un centre clinique ; sans avoir procédé à aucune évaluation, sans tenir compte des dépenses d’adaptation des locaux, sans planification, sans financement et, en plus, sur un terrain qui n’appartient pas à l’organisation.

Le résultat actuel est un gaspillage nocif et inutile de ressources économiques pour les déménagements, l’inconvénient pour les employés qui étaient auparavant situés dans deux bâtiments et qui sont maintenant entassés dans un seul, avec des bureaux superposés et des sanitaires inadéquats, tandis qu’un bâtiment entier est resté abandonné. à négliger et à délabrer pendant près d’un an.

Compte tenu de la situation, cher Président et Commissaire d’Acta, je vous invite à bien réfléchir, le sort des soins de santé et de toute la communauté de la province de Cosenza dépend de votre décision.

Pendant la campagne électorale, vous avez assuré que les soins de santé reviendraient aux mains des Calabrais, alors ne nous laissons pas tromper par l’assurance de certaines personnes qui ne sont nées qu’en Calabre et qui semblent aujourd’hui être les principaux responsables de l’aggravation de la situation générale. performance de notre hôpital.

Nous permettons aux Calabrais de se soigner sur leur propre territoire.

Katya chère

Conseiller régional

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