Commission européenne, les toto-names commencent en Italie. Mais il faut d’abord clôturer le jeu des « Top Jobs »

Commission européenne, les toto-names commencent en Italie. Mais il faut d’abord clôturer le jeu des « Top Jobs »
Commission européenne, les toto-names commencent en Italie. Mais il faut d’abord clôturer le jeu des « Top Jobs »

Le match européen commence déjà. Les bureaux de vote fermés et le dépouillement terminé, les négociations semblent avoir commencé dans la perspective d’une éventuelle reconfirmation d’Ursula von der Leyen conduire le Commission européennemais cette fois la majorité pourrait s’étendre à légumes verts Et Écr, du moins aux noyaux de la famille conservatrice européenne. Donc, la composition de l’équipe gouvernementale continentale pourrait également être « plus large » que prévumalgré les réticences initiales du Socialistes. Mais d’abord, ce qu’on appelle «Meilleurs emplois», c’est-à-dire les postes les plus élevés : présidence de la Commission et du Conseil, haut représentant pour la politique étrangère, pour ainsi dire. L’Italie peut avoir son mot à direrenforcé par le fait que l’exécutif – l’un des rares sur le Vieux Continent – n’a subi aucune répercussion du vote, il en est au contraire ressorti renforcé, notamment le premier ministre, Giorgia Meloni.

Ce ne sera pas une phase facile, ni rapide cependant les rumeurs vont vers une résolution des négociations d’ici le 18 juillet. Durant cette période, les chiffres des commissaires devront également être choisis avec l’affectation relative des différentes délégations. Et c’est là que la situation dans notre pays devient la plus chaude. L’Italie voudrait un « ministère » puissant : les rumeurs dans les palais politiques suggèrent de garder un œil sur les délégations à Compétition (ce serait le véritable objectif de Meloni)mais aussi leAgricultureLe Marché interne ou même lePouvoirce qui pourrait boucler la boucle Plan Matéi sur lequel Palais Chigi il place bon nombre de ses atouts en matière de politique étrangère. Il est difficile, mais ce n’est pas de la science-fiction, pour notre pays de se voir confier des missions de défense.alors qu’il pourrait se révéler un boomerang pour éventuellement accepter la délégation aux Affaires intérieuresqui porte la délicate question des flux migratoires, historiquement clivants en Europe.

Une fois que vous avez décidé qui fera quoi, vous pouvez alors passer à la phase de dénomination. Alors que le boulier tourne déjà à toute vitesse près de Rome. Jusqu’à présent, trois ministres du gouvernement Meloni ont fait savoir publiquement qu’ils n’étaient pas disponibles : en premier lieu Giancarlo Giorgetti, qui a souvent (et volontiers) répété qu’il préférait le terrain italien au terrain européen. Il est également appelé hors de l’image Adolfo Ursoqui veut terminer les travaux à Mimer: “Le pays a d’autres personnalités qui seront certainement plus adéquates que moi, je ne peux certainement pas renoncer à ce que je fais« . Dehors aussi Antonio Tajanice qui est on ne peut plus clair : «Je crois que nous ne devrions pas retourner là où nous avons travaillé pendant 30 ans», ajoutant qu’il préfère rester à la Farnesina.
Il reste donc dans le carnet Raffaele Fittoavec qui il a eu des contacts étroits au cours des deux dernières années Bruxelles en sa qualité de ministre des Affaires européennes, de la Cohésion et du Pnrr. Mais ces dernières heures, d’autres hypothèses ont circulétout aussi valable, comme celui de Roberto Cingolaniactuel PDG de Léonard avec un passé de ministre de Transition écologique dans le gouvernement de Mario Draghi. Ce serait un ‘technicien“, bien sûr, mais avec une expérience institutionnelle, qui, sous les latitudes européennes, compte certainement comme critère de choix. Encore une fois, de la part de l’équipe de l’ex BCE pourrait avoir le physique du rôle Vittorio Colaoqui dirigeait une multinationale comme Vodafone et était ministre de l’Innovation et Transition numérique.

Les connaisseurs n’excluent cependant pas des rebondissements. Comme, comment Maurizio Léo qui a cependantseulement‘ les deux dernières années en tant que vice-ministre de l’Économie dans son cursus politique pour pouvoir passer à Bruxelles, où il est préférable d’avoir des personnalités ayant occupé des postes à plus grande responsabilitéBien que le Mef être considéré comme un véritable « dicastère »lourd‘. Dans la roue de ‘admissible” ils restent quand même Gilberto Pichetto (Mase)e Guido Crosetto (Défense), alors même que le nom de circule sans enthousiasme Francesco Lollobrigida, actuel ministre de l’Agriculture, peut-être la personne la plus proche du Premier ministre. Très difficile pour lui de quitter Massafmais En politique, il n’y a qu’une seule règle : “rien n’est impossible.

PREV Carabiniers, 210 ans de la Force: célébrations et bilan pour le Commandement de Cuneo
NEXT qui est le joueur suivi par les Rossoneri