Messine, la Cour d’appel annule la condamnation à la mort de Grassi

Messine, la Cour d’appel annule la condamnation à la mort de Grassi
Messine, la Cour d’appel annule la condamnation à la mort de Grassi

Hier en fin d’après-midi (éd. 11 juillet 2024), la Cour d’appel de Messine, La deuxième section pénale (Président Dr Sagone, Dr Orlando, Dr Cannizzaro) a totalement réforméjugement de la peine que la première section du tribunal de Messine a prononcée en janvier 2017 contre Gaspare Sceusa, Letterio Frisone et Maurizio Maria Trainiti pour l’accident de la route survenu en juillet 2013 sur le périphérique Pa-Me, près du viaduc de Bordonaro, et à la suite duquel la jeune femme est décédée Providence Grassi.

Les responsables du TAS avaient été appelés à répondre du crime d’homicide involontaire aggravé. Là condamnation dans premier degré avait été motivée par le Conseil (alors présidé par le Dr Letteria Silipigni) sur les résultats d’une consultation technique fournie par le géomètre. Pirri, au nom du parquet, a conclu qu’une barrière placée à proximité de la voûte du tunnel, plutôt qu’à 40 cm comme on l’a trouvé sur place, aurait empêché la chute du viaduc et la mort du passager qui en aurait résulté.

Tous les prévenus et le responsable civil, Consorzio Autostrade Siciliane, avaient fait appel de ce jugement, sur le point (d’ailleurs commun à toutes les défenses) qu’aucune barrière n’aurait pu empêcher l’événement étant donné que – selon les conclusions du parti consultants – c’est le premier impact de la voiture contre la paroi du tunnel, à grande vitesse, qui a provoqué les blessures constatées lors de l’autopsie par Docteur Ventura-espagnol sur le corps de la jeune fille qui, par ailleurs, ne portait pas de ceinture de sécurité.

Même sans suivre l’expertise ordonnée par Cour d’appel et confié à l’ingénieur. Santi Mangano le procès a surmonté les arguments de la défense susmentionnés et a donné au procès la certitude raisonnable qu’un emplacement différent de la barrière aurait empêché la mort de la malheureuse femme. En outre, à la suite de la nouvelle enquête, il est également apparu ce qui avait toujours été soutenu par la défense depuis le premier niveau de jugement, à savoir que le directeur général de la CAS de l’époque (Ing. Maurizio Maria Trainiti) et le Directeur de l’Unité Opérationnelle des Services Techniques (Arch. Letterio Frisone) n’a joué aucun rôle dans les travaux de réaménagement du Galeries A/20 après quoi les barrières ont été éliminées, tandis que l’Ing. Gaspare Sceusa, bien qu’assumant les fonctions de Gestionnaire Unique de la Procédure, n’a jamais autorisé l’installation de la section terminale de la barrière avec des méthodes différentes de celles prévues dans le projet initial. signé par l’expert. Fortunato Aveni qui avait également assumé la direction des travaux.

Interviennent dans la défense : l’avocat. Giuseppe Pustorino (pour l’ingénieur Gaspare Sceusa) ; l’avocat Valter Militi assisté de l’avocat. Luigi Azzara (pour l’architecte Letterio Frisone) ; l’avocat Carmelo Galati (pour l’ingénieur Maurizio Maria Trainiti) et l’avocat. Giuseppe Lo Presti assisté de l’avocat. Francesco Torre (pour le directeur civil du Consortium des autoroutes siciliennes).

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