Trévise, un projet est étudié pour la préservation des œuvres d’art de rue

Trévise, un projet est étudié pour la préservation des œuvres d’art de rue
Trévise, un projet est étudié pour la préservation des œuvres d’art de rue

par Redazione, publié le 13/06/2024
Catégories : Art contemporain / Mentions légales

Dans la province de Trévise, l’Université Ca’ Foscari de Venise lance un projet visant à préserver les œuvres d’art de rue. Voici ce qui a été décidé.

Université Ca’ Foscari de Veniseavec ses experts dans le domaine des sciences de la conservation du patrimoine, a signé un accord avec Le Wallà projet d’étude et de conservation des peintures murales créées dans le cadre du projet, dans la province de Trévise. Ce projet vise à protéger les œuvres de street art des dommages causés par le temps et les intempéries.

L’issue de conservation du street art a émergé pour la première fois au niveau grand public avec les peintures murales de Keith Haring. Les œuvres du célèbre street artiste américain, décédé prématurément, ont été sauvées grâce aux efforts des scientifiques de l’Université de Pise. Actuellement, en Italie, la conservation des peintures murales contemporaines est un défi complexe. Ces peintures sont souvent réalisées à partir de matériaux synthétiques choisis pour des raisons artistiques plutôt que pour leur durabilité, ce qui entraîne des problèmes tels que des variations de couleurs et un détachement de la peinture. L’enjeu est donc de comprendre comment ils sont composés afin de les préserver au mieux.

Depuis plus d’une décennie, l’Université Ca’ Foscari de Venise, dirigée par le professeur Francesca Izzo, étudie les matériaux du street art pour comprendre leur comportement au fil du temps et élaborer des lignes directrices pour leur conservation. En collaboration avec l’association Collettivo Bocaverta APS, la municipalité de Riese Pio X et Ca’ Foscari, un protocole d’accord a été initié dans le cadre de la quatrième saison du projet The Wallà. Le hameau de Valla dans la municipalité de Riese Pio X, un lieu où vit une communauté de trois mille personnes et traversée quotidiennement par trente mille véhicules, est le lieu choisi pour ce projet pilote. Au cours des quatre dernières années, Vallà a vu la création de 17 peintures murales, attirant des milliers de touristes et contribuant à la régénération urbaine. Des artistes de renommée internationale tels qu’EricailCane, Stenlex, Millo et Agostino Iacurci ont laissé leur empreinte sur les murs de la ville. Le projet enverra des équipes de professionnels lors de la création des prochaines peintures murales, prévues cet été. Les artistes impliqués incluent Tellas et Pixel Pancho en juin, Franco Fasoli en juillet et Joys et Orion en septembre.

“Le Wallà devient ainsi un projet pilote non seulement pour la régénération urbaine, mais aussi dans le domaine de la conservation et de la préservation des peintures murales extérieures”, explique Samuele Stocco, secrétaire du Collectif Bocaverta APS, qui promeut le projet The Wallà. “Nous constatons à quel point le temps et les conditions environnementales détériorent le street art, la mise en œuvre de bonnes pratiques de conservation est donc nécessaire pour conserver les peintures murales créées.”

“Dans le cadre de la collaboration avec Le Wallà et la Commune de Riese Pio X, nous réaliserons des campagnes de diagnostic, impliquant également des étudiants en formation pour devenir des experts scientifiques dans le domaine de la Conservation”, explique Franca Izzo. « L’objectif sera d’étudier les matériaux utilisés par les artistes et d’évaluer des stratégies de conservation et d’entretien, souvent utiles aussi d’un point de vue économique : il coûte moins cher de défendre l’art que de le restaurer lorsqu’il est fortement dégradé. Nous réaliserons des mémoires pour le Master en Sciences et technologies de conservation du patrimoine culturel et dans le diplôme de trois ans en Sciences et technologies du patrimoine culturel : nous étudierons les mécanismes chimiques et physiques de dégradation et évaluerons des solutions. La sauvegarde des peintures murales sera de plus en plus nécessaire à l’avenir ; nous voulons former la génération de scientifiques en conservation qui sauveront le street art de l’oubli du temps.

Trévise, un projet est étudié pour la préservation des œuvres d’art de rue

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