une arrestation. «Des amis et connaissances ont essayé de l’aider»

Cela aurait dû être normal et agréable Déjeuner de Noël entre collègues, avec l’employeur qui avait invité tout le monde chez lui pour le classique échange de salutations « d’entreprise », mais pour une employée d’une entreprise à Forlì s’est transformé en cauchemar, juste à la veille du 25 décembre qu’il aurait aimé passer avec sa famille mais qu’il a plutôt passé dans Quartier se présenter aux agents de la police d’État violences sexuelles gravesqu’il aurait subi de la part d’un collègue.

Violences sexuelles après le déjeuner de Noël

Un homme qui lui avait proposé de la ramener chez lui, après le déjeuner, car plus tard quelques heures passées avec un verre de vin et l’autre, elle voulait éviter de conduire à nouveau, mais au lieu de la ramener immédiatement chez elle, comme convenu officieusement, il l’avait accompagnée chez elle. Et cela n’aurait été que le début d’une histoire dramatique où les violences sexuelles sont en toile de fond. Caractères secondaires, complices de l’agresseur, tous âgés de 30 à 40 ans, mais aussi des armes et de la drogue.

Abus contre un collègue

Celui-la d’alcool consommé lors du déjeuner de vœux, ce n’est pas un petit détail. La femme était incapable de conduire parce qu’elle se trouvait dans une situation manifestement difficile. Et le statut de son collègue j’aurais abusé la forçant à subir des actes sexuels répétés et non consensuels. Des faits déjà partiellement prouvés par certains messages – audio et texte – délivrés par la femme à la police et envoyé depuis le smartphone du collègue.

L’accusé avait convaincu ses collègues et amis de l’aider

C’est pourquoi la veille de Noël, le Code rouge, une procédure qui a immédiatement donné une impulsion aux enquêtes coordonnées par le parquet de Romagne. Et c’est là qu’ils entrent en jeu, au détriment de la victime des violences, collègues et amis de son bourreau. Après avoir découvert qu’il avait été dénoncé, selon ce qui ressort de l’enquête, il il aurait convaincu amis, connaissances et collègues être d’accord avec eux sur de fausses déclarations pour prouver devant les policiers qu’il n’était pas impliqué dans les faits.

Les enquêtes impliquaient également l’utilisation de bugs et de bugs

L’expédient n’a pas abouti, car les agents ont tout découvert après avoir insectes plantés et insectes qui a enregistré des conversations et des dialogues qui l’ont encore plus cloué à ses responsabilités. C’est pourquoi le juge d’instruction du parquet de Forlì a ordonnéL’enquête se termine par une assignation à résidence, en raison du risque de répétition du crime. Mais aussi parce qu’on pesait déjà sur lui condamnation pour trafic de drogue. Et des perquisitions suite à la plainte de son collègue, tout est sorti de chez lui : des couteaux, des coups de poing américains et de la drogue, entre des doses de marijuana et de cocaïne et des blocs de haschisch.

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