l’Université d’État de Brescia figure parmi les universités les plus efficaces pour générer des opportunités d’emploi pour ses diplômés

La nouvelle édition du rapport AlmaLaurea publiée hier au niveau national confirme que les diplômés de l’Université d’État de Brescia trouvent du travail plus facilement que la moyenne régionale et nationale.

Grâce aux formations diplômantes évidemment, mais aussi au tissu productif. «Ces résultats – souligne le recteur de l’UniB, Francesco Castelli -, ainsi que l’augmentation du pourcentage de diplômés qui considèrent le diplôme obtenu utile pour leur carrière professionnelle, confirment les choix stratégiques de notre université et récompensent la qualité de l’offre éducative. visant à préparer au mieux nos étudiants”.

Entrant dans les détails, l’enquête sur la situation de l’emploi réalisée comme chaque année par le consortium interuniversitaire fondé en Italie en 1994 a concerné au total 4.454 diplômés de l’Université de Bresciaen comparant les résultats en matière d’emploi avec ceux de 77 autres universités italiennes faisant partie du réseau.

Les données se concentrent sur l’analyse des performances des diplômés du premier et du deuxième niveau diplômés en 2022 et interrogés un an après l’obtention du diplôme et sur celles des diplômés du deuxième niveau diplômés en 2018 et interrogés après cinq ans.
Bien, un an après l’obtention du diplôme, le taux d’emploi (sont considérés comme employés tous ceux qui exercent une activité rémunérée, un travail ou une formation) des diplômés de trois ans de Brescia est de 89% environ, nettement supérieur à la moyenne régionale (79 %) et nationale (75,7 %). 46% des salariés peuvent compter sur un contrat de travail à durée indéterminée, tandis que 23% sur un contrat de travail à durée déterminée. 13,5% exercent plutôt leur propre activité (en tant qu’indépendant, travailleur indépendant, entrepreneur, etc.). Le travail à temps partiel concerne 8% des salariés. Le salaire est en moyenne de 1 610 euros net par mois.

Mais il y a plus. Près de quatre diplômés sur cinq considèrent le titre comme très efficace ou efficace pour le travail qu’ils effectuent.
En ce qui concerne les diplômés du deuxième niveau (c’est-à-dire ceux qui ont obtenu un master), un an après l’obtention de leur diplôme, le taux d’emploi est égal à 88%, supérieur à la moyenne régionale de 81% et la moyenne nationale de 76%. 29% des salariés peuvent compter sur un contrat de travail à durée indéterminée tandis que 12% sur un contrat de travail à durée déterminée. 17 % dirigent leur propre entreprise. Le salaire est en moyenne de 1 680 euros net par mois. Cinq ans après l’obtention du diplôme, le taux d’emploi avoisine les 95 % (90 % en région, 88 % au niveau national). Les salariés en CDI sont 52%, tandis que ceux en CDD sont 6%. 19 % dirigent leur propre entreprise. Les salaires atteignent en moyenne 1 984 euros net par mois.

Dans ce cas également, près de 70 % des personnes interrogées par les chercheurs d’AlmaLaurea déclarent utiliser dans une large mesure les compétences acquises à l’université dans leur travail. 66,5% des diplômés travaillent dans le secteur privé, tandis que 33,2% travaillent dans le secteur public; 0,2% travaillent dans le secteur associatif. Le secteur des services absorbe 70,8%, tandis que l’industrie représente 29% des salariés ; la part de ceux qui travaillent dans le secteur agricole est nulle.

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