le professeur Il Tirreno reste en prison

MASSA CARRARE. L’enseignant accusé d’abus sexuels sur mineurs et de possession de pédopornographie reste en prison après l’interrogatoire préliminaire. Une histoire très délicate. Après les enquêtes menées par les Carabiniers, le suspect a été incarcéré suite à une ordonnance de mesures conservatoires, demandée par le procureur chargé des enquêtes, le docteur Eugénie Micheletti du parquet de Gênes ; pour ce type de délit, en effet, la compétence revient à la capitale génoise, siège de la Cour d’Appel qui préside le tribunal de Massa. L’interrogatoire de garantie a été réalisé par procuration par le juge d’instruction du tribunal de Massa, le Dr Dario Berrino. Sur le contenu de l’interrogatoire, et d’ailleurs sur aucun autre aspect de cette délicate enquête, l’équipe de défense composée d’avocats Emiliano Guerra Et Giuseppe Pavich, ne fait aucune déclaration. L’avocat Guerra explique simplement qu’en accord avec son confrère, compte tenu des litiges, ils organisent la défense de leur client.

Comme cela a été écrit ces derniers jours, l’enseignant est essentiellement accusé d’avoir invité les filles chez lui en leur promettant du plaisir et même de l’argent en échange de “jeux” particuliers. Comme si vous vous faisiez les ongles ou que vous preniez des photos en sous-vêtements.

Les enquêtes ont été menées par les Carabiniers qui ont reçu des plaintes de certains parents qui se méfiaient des récits de leurs filles, qui sont actuellement identifiées par la justice comme victimes du procès. Ce sont des collégiennes mais certaines, selon une première reconstitution, sont encore plus jeunes, donc même des filles du primaire. Tout a commencé avec une mère qui, méfiante quant à ce qu’elle avait trouvé sur le téléphone de sa fille, a demandé confirmation aux autres parents. Selon ce qui a été reconstitué par les enquêteurs suite aux plaintes des parents, l’enseignant avait convaincu une dizaine de filles de venir chez lui en leur promettant du plaisir et de l’argent garantis en échange de certains jeux. Il l’aurait payée – avec une grille de prix précise – pour se faire appliquer du vernis à ongles ou, comme mentionné, pour se faire prendre en photo en sous-vêtements. Lors de la perquisition, les militaires ont trouvé des photos et des vidéos qui confirment les témoignages des petites filles. »

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