Reggio de Calabre, ils menacent les politiciens locaux en se faisant passer pour les Brigades rouges : deux plaintes


14 juin 2024 07:45

“L’armée révolutionnaire a promulgué une condamnation à mort définitive.” Ainsi commença le commentaire menaçantpuis éliminé, adressé en direction de soi-disant « journaux fascistes »deux hommes politiques dont l’un est déjà député.

Dans les derniers mois de l’année dernière, dans certaines vidéos de la plateforme «Youtube», des commentaires résolument inquiétants étaient apparus à l’égard des deux hommes politiques qui, inquiets pour leur propre sécurité, s’étaient tournés vers les carabiniers.

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Les militaires de la station Gioia Tauro sont immédiatement intervenus pour identifier les éventuels auteurs, cachés derrière des surnom visible depuis la plateforme sociale, qui comportait également l’acronyme « KGB » dans son nom.

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On sait où tu habites, ce que tu manges, à quelle heure tu as pris le train», «la peine de mort sera exécutée par le peloton d’exécution du prolétariat», telle était la teneur de certains commentaires qui, peu de temps après, ont été immédiatement supprimés par les auteurs, visiblement plus lents que les carabiniers qui les avaient immédiatement identifiés.

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Dans certains commentaires, la signature « a été ajoutée aux menaces présentes »BR-PCC“, clairement imputable au “Brigades rouges, combattant le Parti communiste» ou celui du «NBR» (Nouvelles Brigades rouges), particulièrement évocatrice des années qui ont vu la chute, même à des époques plus récentes, de certains fonctionnaires de l’État.

Les deux victimes sont toutes deux politiquement actives : l’une, en plus de son engagement politique, dirige également une chaîne “Youtube» particulièrement suivi.

Le fait que des lieux précis aient été mentionnés où les victimes vivaient réellement ou étaient temporairement passées a conduit les enquêteurs à ne absolument pas sous-estimer le contenu des messages, activant immédiatement toutes les pistes d’enquête.

Des enquêtes ultérieures ont fini juge opportun d’impliquer le Groupe opérationnel spécial des carabiniers, qui a dirigé tous les informations nécessairesgrâce à la très haute spécialisation de son personnel.

Avec l’aide de tels spécialistes, vous êtes a pu identifier sans équivoque la personne derrière les commentaires menaçants.

Heureusement, les enquêtes menées ont permis d’exclure, avec une certitude raisonnable, tout lien avec des milieux subversifs, en considérant le geste comme l’initiative d’un seul individu, italien, résidant dans la région du Trentin-Haut-Adige.

L’événement, tout en soulignant l’importance nouvelle que revêtent de plus en plus les délits informatiques, notamment à travers l’explosion des réseaux sociaux, ne doit pas nous faire sous-estimer les conséquences que peuvent avoir certains propos dans le monde virtuel.

En fait, de nombreux crimes ont été commis à l’aide de ces outils ces dernières années, c’est pourquoi les forces de l’ordre s’adaptent constamment pour suivre l’innovation.

Il est nécessaire de souligner comment se déroule actuellement la procédure.le toujours dans la phase d’enquête préliminaire pour laquelle prévaut le diktat constitutionnel selon lequel l’accusé n’est pas considéré comme coupable jusqu’à la condamnation définitive.

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