Euro2024, à 21h Italie-Albanie à Dortmund. Avec un peu de Lecce

Le Championnat d’Europe italien débute en Allemagne, trois ans après le triomphe de Wembley avec Vialli et Mancini. Une équipe nationale à découvrir, confiée à Luciano Spalletti, l’entraîneur…

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Le Championnat d’Europe italien débute en Allemagne, trois ans après le triomphe de Wembley avec Vialli et Mancini. Une équipe nationale à découvrir, confiée à Luciano Spalletti, l’entraîneur qui, après le scudetto remporté à Naples déjà ce soir, à 21 heures à Dortmund contre l’Albanie, veut voir son équipe tout laisser sur le terrain lors du premier match valable pour groupe B. Un groupe difficile, celui des Azzurri, car, outre l’Albanie qui parle un peu de Lecce avec les milieux de terrain Ylber Ramadani et Medon Berisha vétérans – surtout les premiers – deexcellent championnat dans le Salento, il y a aussi l’Espagne et la Croatie, qui s’affronteront à Berlin quelques heures avant les débuts italiens, à 18 heures. Spalletti retrouve Barella, et c’est une excellente nouvelle pour le milieu de terrain. L’homme supplémentaire peut être Scamacca, rebaptisé “l’avant-centre de la Providence”, tout comme le joueur de l’AC Milan Daniele Massaro l’était pour Arrigo Sacchi aux USA 1994. Scamacca a été parmi les protagonistes de la saison historique deL’Atalante de Gasperini, Spalletti espère donc pouvoir compter sur la longue vague d’un état physique et mental qui peut s’avérer décisif en l’espace d’un mois (c’est l’espoir). Sans oublier l’apport que l’Argentin Retegui est en mesure de garantir, toujours en attaque. L’Italie essaiera de ne pas décevoir tous ses supporters, et Spalletti a été clair sur ce point en conférence de presse. «Les fans doivent savoir que nous sommes des géants en ce moment. Nous avons peu de temps disponible pour entraîner l’équipe nationale, mais avec un groupe avec cette disponibilité et cette conscience, tout devient plus facile, et ce qui se fait dans un entraînement, c’est comme dix fois dans un club”, a-t-il souligné d’un ton engageant. Note importante: 10 mille Italiens et 50 mille Albanais dans les tribunes. L’entraîneur ajoute: «Il y aura beaucoup de supporters de nos adversaires, mais nous en aurons 60 millions sur le terrain parce que nous demanderons aux supporters de jouer avec nous». Une invitation à participer, à soutenir, à pousser une Italie qui ne part certainement pas avec les chances de la victoire finale. D’un point de vue personnel, pour Spalletti ce sera la première fois comme entraîneur dans un Championnat d’Europe: «L’émotion est grande – avoue-t-il – mais au fil des heures, cela devient une tension fantastique, qui apporte du bonheur». Ensuite, un regard sur les adversaires : « L’entraîneur albanais Sylvinho a bien préparé le match. Nous jouons avec des joueurs de grande qualité et qui connaissent bien notre football, ce sera un match difficile.” Après tout le milieu de terrain albanais, dirigé par Ramadani dès la première minute, n’a pas grand-chose à envier à de nombreuses autres équipes nationales présents à l’événement.

Compositions (Dortmund, 21h)
Italie (4-2-3-1) : Donnarumma ; Di Lorenzo, Calafiori, Bastoni, Dimarco; Jorginho, Barella ; Église, Frattesi, Pellegrini ; Scamacca. Ct. Spalletti.
Albanie (4-3-3) : Berisha ; Hysaj, Ismajli, Djimsiti, Mitaj ; Asllani, Ramadani, Bajrami ; Asani, Broja, Seferi. Ct. Sylvinho.
En direct: Rai 1, Ciel

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