Bureaux administratifs à Corigliano-Rossano. Straface, « Nouveau rapport au parquet »

Bureaux administratifs à Corigliano-Rossano. Straface, « Nouveau rapport au parquet »
Bureaux administratifs à Corigliano-Rossano. Straface, « Nouveau rapport au parquet »

Absence de toute vision stratégique de la Ville, d’une part. Système scientifique d’administration des ‘mmashes, d’autre part. Jour après jour, avec la révélation quotidienne de décisions et de paiements douteux, pour ne pas dire suspects, cela reste la double clé pour comprendre les cinq années de mauvaise gouvernance de Flavio Stasi.
Et tandis que le maire sortant, comme toujours résident sur les réseaux sociaux, pense pouvoir se moquer même des différentes enquêtes menées par les forces de l’ordre, ces derniers jours, dans ces heures, comme le montrent les enquêtes journalistiques indépendantes seules et dans le silence de mort de chacun communication institutionnelle, ils recherchent (pour l’hypothèse d’un délit passible de poursuites judiciaires et non pour des plaintes électorales inexistantes !) tous les bureaux municipaux pour enquêter sur les Pinquas et la non-rotation présumée des affectations directes en dessous du seuil qui serait tombé sur des entreprises présumées amies, on découvre ici une autre dépendance absurde aux questions électorales.
Lundi 10 juin prochain, les travaux de maintenance devraient démarrer en plein essor sur l’ancienne SP177, à proximité de l’accès au centre historique de Rossano ; interventions qui ont été confiées, pour un coût total indiqué dans la détermination, de 200 mille euros, toujours sans procédure d’appel d’offres régulière, à une entreprise de San Cosmo Albanese, dont le propriétaire, encore une fois par hasard, est à nouveau un parent direct d’un des candidats sur les listes soutenant la Stasi. Voici la ville normale et la compétence dont ceux qui se considèrent Oints du Seigneur ou homme seul aux commandes continuent de crier sur les scènes, mais en fait accompagnés et soutenus par des consultants comme les deux anciens communistes Franco Pacenza (qui doivent revenir les salaires illégalement reçus) et Tonino Caracciolo (expert en ventes super rentables de bidonvilles aux municipalités) et par des partis icônes de l’échec national et régional des dernières décennies, comme le Pd et le M5S.
Nous sommes confrontés à un acte illégitime en soi mais qui devient criminel s’il est commis quelques jours avant le vote et qui préfigure un autre cas clair et sensationnel d’échange de voix et de corruption électorale. C’est encore un acte scandaleux visant à obtenir un consensus qu’il n’aurait pas obtenu autrement. Une honte sur laquelle il faut faire toute la lumière, comme sur tout ce qui se dessine.
C’est pourquoi nous avons également immédiatement signalé cette mission au ministère public de Castrovillari et à la Cour des comptes pour les aspects pertinents. Heureusement, il ne reste que quelques heures et ensuite la ville, par son vote, démantèlera le système Stasi digne d’une Suburra. – (SOURCE : COALITION POUR LE MAIRE DE PASQUALINA STRAFACE).

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