20 millions de dettes Gazzetta di Reggio

Reggio d’Émilie Accords de « règlement et radiation » payer tous les créanciers, à l’exception des salariés, déjà payés, pour annuler définitivement le statut de dette, avant d’affronter la procédure de liquidation judiciaire, prononcée le 16 mai.

C’est l’intention de la propriété de Voiture de sport en soie Srl, qui aurait dû construire (comme illustré en grande pompe en 2021) une méga usine de supercars électriques et hybrides à la périphérie de Reggio Emilia, précisément à Gavassa. Le projet, présenté à plusieurs reprises comme un fleuron de la région, s’est également évaporé de manière sensationnelle, les livres se retrouvant devant les tribunaux.

Les 65 salariés – comme il le déclare l’avocat Pasqualino Miraglia – ont tous été payés en mai dernier après que les anciens travailleurs se sont plaints auprès de la direction. Une fois ce chapitre terminé, un nouveau s’ouvre. L’entreprise entend, en effet, honorer ses dettes envers ses créanciers – pour un montant d’environ 20 millions d’euros, selon ce qui a été filtré – avant l’audience d’examen de l’état de la dette, prévue cet automne. Et elle aurait l’intention de le faire par le biais d’accords de « règlement et de radiation ». Autrement dit, grâce à cet accord, un débiteur règle son crédit pour un montant inférieur à celui initialement dû, annulant ainsi une partie du montant. Il y a aussi des noms ronflants sur la liste des créanciers. «La propriété souhaite clôturer la situation en règle Silk Sportscar Srlc’est-à-dire, par négociation directe entre créanciers et débiteurs, les points encore ouverts – affirme l’avocat Pasqualino Miraglia à qui Société de voitures de sport en soie Ltd, propriétaire de l’actionnariat italien, invité à servir d’intermédiaire dans ce cas aussi, ainsi que pour les salariés -. Le montant de la dette devrait être d’environ 20 millions. »

L’entreprise remédierait donc à l’exposition à la dette envers les créanciers pour un montant important. Ce ne serait cependant pas la seule raison qui pousserait à fermer les comptes : il y aurait aussi une question d’image assez épineuse liée à la propriété. En fait, nous voulons endiguer autant que possible les dommages supplémentaires à notre image qui résulteraient d’un prolongement prolongé du problème.

Un écho négatif qui, d’ailleurs, a déjà suscité beaucoup de discussions, lorsqu’on a commencé à comprendre que le projet retentissant ne resterait que sur papier et qu’à Gavassa, les travaux ont commencé, mais sans lien avec la création de supercars de luxe.

Entre-temps, le site Silk Sports Car Sr.l, qui promet pendant quelques secondes de rediriger l’utilisateur ailleurs, est désactivé.

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