à Florence pour briser le tabou de Guelph

ANCONA – Dimanche à 15h00, les Gls Dolphins Ancona disputeront leur troisième demi-finale consécutive en Ifl. Les adversaires ? Ces Florence Guelphs qui cette saison ont été l’équipe qui a le plus mis en difficulté les Doriens (battues le 18 mai dernier sur le score de 38-14) et qui l’an dernier, toujours en demi-finale, ont éliminé les Dolphins à deux pas du Superbowl de Tolède gagnant 42-21. Plus généralement, les Dauphins n’ont plus réussi à vaincre les Guelfi depuis le 22 mai 2021, date à laquelle ils s’étaient imposés à Ancône en s’imposant par un point 35 à 34. Ensuite, toutes les défaites au Centre sportif de Guelfi à l’exception d’un ‘L’ souffert à Ancône quelques semaines après la victoire. Cette fois aussi, il se jouera à Florence.

Les Dolphins se présentent de bonne humeur après avoir remporté une dure bataille contre les Marines de la Lazio, samedi dernier, 31-26. Les Guelphs, quant à eux, n’ont plus joué depuis le 25 mai, avec du repos et des matchs manqués grâce à la bonne position qu’ils ont acquise en saison régulière. «Nous sommes encore ici pour jouer une demi-finale contre les Florence Guelphs. Et si la défaite contre eux en championnat ne nous a finalement pas empêché de faire quoi que ce soit, dit l’entraîneur principal des Gls Dolphins Ancona, Roberto Rotelli, cette fois, celui qui perdra restera à la maison et ne participera pas au Superbowl de Ravenne. Cela dit, l’équipe a envie de rédemption et veut bien faire. Mais il y a aussi des adversaires et des arbitres sur le terrain et il faut toujours s’en souvenir.”

Selon l’entraîneur, «il faut donc d’abord être conscient de ses propres moyens et ensuite profiter de chaque erreur commise par son adversaire. Nous nous y préparons également. Je suis convaincu que les Guelphs ne nous laisseront pas beaucoup de marge de manœuvre, nous devrons donc être bons à rester face à face avec nos adversaires et à ne pas sombrer mentalement si nous subissons des touchés dans la phase initiale, comme c’est arrivé la dernière fois. Le match dure quatre quart-temps et il y a donc toujours du temps et de l’espace pour récupérer. Mais avant tout, il faudra être prêts physiquement et moralement, en gardant à l’esprit que les équipes qui s’affrontent ne sont jamais les mêmes que la première fois.

Selon Rotelli, en effet : « il y a toujours du changement. De notre côté, par exemple, il y a quelqu’un que nous ne pouvons pas avoir à cause d’une blessure, de jobs d’été et pour les plus jeunes même d’examens. Parmi eux, peut-être aussi notre kicker avec des pourcentages de 100%, à savoir Francesco Erba.” Enfin, Roberto Rotelli tient à aborder un point qui lui tient beaucoup à cœur : « Je constate avec regret que les équipes adverses se mettent toutes à l’abri en reconstituant l’effectif. Peut-être qu’ils ne se sentaient pas suffisamment prêts ou adéquats ? Je ne sais pas. Cependant, je dirai que faire cela une semaine avant une demi-finale fait partie de ces choses auxquelles je ne céderai jamais. Dire que je vais me moquer des gens à qui j’offre de l’argent pour passer une semaine et ensuite entrer sur le terrain… Eh bien, je suis contre ces choses-là. Ensuite, c’est autorisé par la réglementation et donc il n’y a rien d’illégal, soyons clairs. Mais, je le répète, je n’aurais pas envie de mettre une personne à la place d’une autre qui s’est engagée et a tout donné pendant 60 entraînements ou plus. Pour moi, c’est inconcevable. J’ai commencé un voyage avec ces gars et j’arrive aussi loin que possible. Nous irons donc à Florence en connaissance de cause et ferons tout pour battre notre adversaire. Alors seront-ils plus forts que nous ? C’est possible, mais nous donnerons tout.”

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