Barella et Bastoni livrent la victoire contre l’Albanie

Un début de choc et une reprise en main. L’Italie joue sur les ailes de l’enthousiasme et, après le déficit, domine contre l’Albanie: Dimarco commet une erreur et concède le but à Bajrami, Tendeur Et Des bâtons ils annulent le résultat. Ça se termine 2-1 à la fin Stade Westfalen de Dortmund, qui se confirme comme un stade positif pour notre équipe nationale. Excellentes indications pour le coach Spalletti qui, net de l’égalité touchée par Manajobtient le scénario espéré : arriver au choc direct avec l’Espagne, jeudi à 21 heures, à égalité avec les Furies Rouges : pour elles, un retentissant 3-0 contre la Croatie.

Dimarco fait une erreur, Bastoni et Barella pas : l’Italie récupère et se remet du 2-1

Le départ a été un choc pour l’Italie, qui s’est immédiatement retrouvée désavantagée. Vingt-quatre secondes ont suffi à l’Albanie pour sortir de l’impasse en profitant d’une grave erreur de Federico Dimarco : remise en jeu sans réfléchir ni appeler ses coéquipiers, Bajrami profite et marque devant Gigio Donnarumma. L’Italie souffre quelques minutes, puis Pellegrini charge et les Azzurri récupèrent. Bastoni marque sur la passe décisive du joueur de la Roma (11′), avec une tête, tandis que Barella réalise une magie : un ailier imparable et 2-1 après seize minutes. A partir de là, c’est un monologue italien, avec l’Albanie qui ne se remet pas et ne revient pas dans le match : Frattesi frappe le poteau et notre équipe nationale se rapproche à deux reprises du triplé (mérité).

L’Italie contrôle et prend des risques en seconde période : Manaj est proche d’égaliser

En seconde période, nous avons vu l’Italie en contrôle total, ralentissant le rythme du match et gérant son énergie devant l’Espagne. Spalletti joue avec des remplacements, passant à trois à la fin et centralisant Di Lorenzo aux côtés de Bastoni et Calafiori, avec Cambiaso-Darmian à l’extérieur. Un geste qui a fonctionné jusqu’au temps additionnel, lorsque l’Albanie a eu une occasion sensationnelle d’égaliser : Calafiori lui-même a perdu Manaj de manière sensationnelle, seule une intervention providentielle de Donnarumma et l’imprécision de l’ancien joueur de l’Inter ont évité le match nul. A la 95e minute, sur la dernière action, nouveau frisson avec le tir haut de Mitaj. Pas une grande Italie en seconde période, avec trop de confiance et peu d’énergie, mais la victoire arrive : trois points en or pour l’équipe nationale.

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