la mère et l’homme ont été arrêtés

Elle aurait été contrainte par sa mère de satisfaire les perversions d’un ami virtuel. Des accusations qui ont déclenché l’arrestation de la femme et du « compagnon » qu’elle a rencontré sur les réseaux sociaux le 6 mai. Et qui ces derniers jours ont été confirmés par le mineur et cristallisés lors de laincident de preuve, en vue de l’éventuel procès.

Actes sexuels en ligne et photos nues

Ce sont les derniers développements de la terrible histoire dont la victime présumée est une jeune fille de la province de Lecce, aujourd’hui âgée de seize ans, qui pendant trois ans, elle a été contrainte par sa mère, après menaces et mauvais traitements, de réaliser des actes d’autoérotisme devant une caméra ou d’envoyer des centaines et des centaines de photos nues à un Milanais de 52 ans. Cette dernière et la mère du mineur, arrêtées en exécution d’une ordonnance de garde provisoire émise par le juge d’instruction de Lecce, sont en prison pour des accusations – pour diverses raisons – de violences sexuelles aggravées, d’actes de persécution, de mauvais traitements dans la famille et de possession de matériel pédopornographique.
La mineure, selon ce qui a été rapporté, a été contrainte par sa mère à contacter l’homme toutes les heures et demie ainsi qu’à participer à des appels vidéo sexuels. Pour satisfaire les demandes de l’homme de 52 ans, la mère de la jeune fille est même allée jusqu’à administrer à son mari des doses massives d’anxiolytiques pour l’endormir et le mettre « hors de combat ».

La plainte du père

C’est le père de l’adolescent qui a déclenché l’enquête, après avoir découvert les conversations sur le téléphone portable de sa fille avec l’ami virtuel de sa femme, qui avait offert à la jeune fille un téléphone portable sur lequel il avait installé des Applications « espion » – telles que « Cerberus » et « Viber » – de surveiller chacun de ses mouvements et d’écouter chacune de ses conversations. Chaque fois que la mineure refusait d’accéder aux demandes, affirmant qu’elle était « fatiguée » ou qu’elle « voulait sortir avec ses amis », la mère lui coupait les bras ou lui coupait des mèches de cheveux, obligeant ainsi la jeune fille à ne pas quitter la maison. maison.

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