geste politique ». Inspection médico-légale

“Pour le troisième fois en seulement deux mois tombeau de notre père dans cimetière De Première porte était profané, six jours après l’anniversaire de sa mort.” Ils l’écrivent Bianca, Maria, Marco et Laura Berlinguer, enfants par Enrico, dans un article publié le Instagram. «L’action lâche de quelques canailles – poursuivent-ils – révèle qu’il ne s’agit pas de l’acte d’une personne dérangée mais d’un geste du contenu clairement politique. Nous espérons que les mesures nécessaires seront adoptées pour éviter de nouveaux attentats. »

Tombeau vandalisé

famille du leader historique du PCI revient ainsi sur rapport un nouvel attentat, après le dernier survenu il y a peu de temps, le 13 mai, également à Cimetière romain. D’autres photos, à cette occasion, avec sa fille journaliste Bianca Berlinguer Que il a écrit: «Au cours des quarante années qui se sont écoulées depuis la mort de papa, son tombeau Cela a toujours été complet De fleurs apporté par de nombreuses personnes qui se sont arrêtées pour une réflexion et un hommage. Et cela a toujours été un grand réconfort pour nous, les enfants. Dans le’le mois dernier le tombeau a été deux fois vandalisé par quelqu’un (une ou plusieurs personnes) : vases détruits, fleurs jetées et parterres de fleurs piétinés. Un acte lâche et ignoble. »

Et maintenant là nouvelle profanationvases et fleurs cassés s’est effondré au basun autre affront qui pousse la famille à penser qu’à ce stade, il ne s’agit plus du geste isolé d’un agresseur mais d’unaction ciblée et guidé par un précis intention politique. Après l’épisode de mai, il y a eu inspectionsde la part de policedont aucun élément décisif n’aurait toutefois émergé pour acheminer le enquêtes sur une piste spécifique. Mais le nouveau « blitz » a rouvert le dossier. Là policedans l’après-midi, a effectué une inspection du site avec les agents de Scientifique. Et ils ont également été activés Municipalité de Rome et sa commune aimetrès souvent contestée pour la dégradation et l’abandon des cimetières capitolins.

Les réactions, du Pd au FdI

«C’est la troisième fois en moins de deux mois – intervient-il Nicolas Fratoianni des Verts et de l’Alliance de gauche – il est clair qu’il ne s’agit pas d’un geste individuel, mais d’un acte politique. Est-il possible que personne n’ait veillé à ce que ce massacre ne se reproduise pas ? Maintenant, pour que ça ne se reproduise plus responsable sont identifiés e puni nous nous attendons à ce que autorité Oui Activer immédiatement, c’est pourquoi je présenterai une question parlementaire au ministre de l’Intérieur”.

«La profanation de la tombe de Berlinguer, une autre, est indignée et inquiétante – déclare Davide Faraone (Italia viva) -. Des gestes répétés qui sont le signe d’un climat politique violent et arrogant qui a aussi des répercussions dans le pays.

«Cela ne peut plus être une coïncidence, c’est une défiguration de la mémoire et de l’histoire – écrit-il sur X Chiara Bragachef de groupe PD au chambre -. Nous demandons au ministre Piantedosi identifier les responsables et protéger le monument, afin qu’aucun délit scandaleux ne puisse se répéter. Toujours du Parti Démocrate Francesco Boccia il ajoute: «Il n’est plus tolérable que cet outrage se répète sans que les coupables soient identifiés et punis, car le Parti Démocrate déposera une question au gouvernement au Palais Madame, avec ma première signature».

La solidarité aussi de FdI avec le président de la commission Culture à l’hémicycle Federico Mollicone: «La nouvelle tentative, la troisième en l’espace de quelques mois, est la témoignage de la climat De détester et de Violence politique qui continue à persévérer à Rome et dans toute l’Italie. Nous espérons que la municipalité et les autorités identifieront l’auteur dans les plus brefs délais. Alors que le président du Sénat Ignazio La Russa sur Facebook il exprime « la solidarité et la proximité, la profanation d’une tombe est un acte inacceptable, le geste a ma ferme et condamnation totale».

Anpi : « Des auteurs sortis des égouts »

«Je n’ai pas de mots, la tombe d’Enrico Berlinguer a encore été vandalisée, les auteurs sont encore sortis des égouts – écrit-il dans une note dure Gianfranco Pagliaruloprésident national deAnpi -. Cela confirme qu’il s’agit d’un acte délinquant avec une signification politique claire et que les autorités n’ont pas identifié les responsables et n’ont en aucun cas empêché la répétition de l’acte de vandalisme : il s’agit d’un honteencore une fois mon entière solidarité et celle de toute l’ANPI envers les membres de la famille.”

La Commune : « Plus de contrôles »

L’conseiller Capitoline à l’Environnement Sabrina Alphonseégalement responsable de la gestion des cimetières, promesses plus contrôles: «Des actes de ce genre ne doivent jamais se répéter – veut assurer Alfonsi -: nous veillerons à ce qu’Ama intervienne immédiatement pour restaurer le lieu et, avec le la police locale nous mettrons en œuvre des actions pour stimulersurveillanceafin d’éviter d’autres attentats possibles, qui affectent non seulement la figure de l’un des hommes politiques italiens les plus importants, mais aussi notre mémoire collective”.

PREV de la fille d’Al Bano à Maria Elena Boschi, tous les invités VIP
NEXT Adversaires de Bénévent – Casertana aux mains d’Iori: les falchetti repartent de l’ancienne Citadelle