Canailles de déchets, 450 amendes à Brescia en 4 mois

A Brescia, la chasse est ouverte à ceux qui déversent illégalement des déchets. Le groupe est à nouveau pleinement opérationnel depuis le début de l’année «Unité de décoration urbaine» de la Police Localeengagé dans la lutte contre le phénomène d’élimination incorrecte des déchets : du 1er janvier à fin avril, 450 amendes ont été levées contre ceux qui ont été les protagonistes de ces actions déplorables, pour un total de 60 mille euros d’amendes qui finiront dans les caisses municipales. Pratiquement chaque jour dans la capitale, quatre personnes en moyenne sont retrouvées et abattueset qui, bien qu’unis par un manque de sens civique, doivent être divisés entre ceux qui le font en série ou de manière improvisée.

Pour les identifier, ils sont utilisés techniques anciennes et nouvelles: allant de l’ancienne méthode d’investigation du “corps du crime”, c’est-à-dire l’ouverture des sacs conférés illicitement à la recherche d’indices tels que des lettres ou des colis portant le nom de l’auteur présumé, en passant par des surveillances en civil ou l’utilisation de caméras mobiles, plutôt que des pièges photographiques installés à des points stratégiques de la ville. Les données et les méthodes de lutte contre cette pratique, visiblement encore trop répandue, ont été présentées hier par la conseillère chargée de l’environnement, de la verdure et de la transition écologique de la Commune de Brescia, Camilla Bianchi, lors de la présentation du nouveau plan de collecte des déchets. de la verdure à domicile qui a mis à la retraite les boîtes vertes, définies comme “trop ​​souvent des décharges à ciel ouvert qui nous coûtent jusqu’à un million d’euros par an en dépenses directes et indirectes”.

En présentant son plan de collecte des déchets ménagers, mis en œuvre pour respecter les paramètres imposés par le plan régional des déchets lancé par la Région Lombardie, Bianchi revient également sur les protestations et la collecte de signatures qui ont trouvé le soutien des forces d’opposition de centre-droit dans la Loggia contre ceux qui sont dits « désolé, car c’est le résultat d’une « politique à la va-vite » qui ne sert à rien » et arguant que nous sommes confrontés à « un court-circuit évident : le plan Régional est promu par le centre-droit et a également été voté en 2022 par Rolfi, celui-là même qui collecte désormais les signatures et se montre contraire aux règles que nous voulons respecter” attaque l’édile, affirmant que ces positions “ne sont pas bonnes pour la politique ni même pour la Région Lombardie” et d’où “j’ai l’intention de m’échapper, préférant les faits et les plans vertueux à l’exploitation”.

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