Trévise. Église de Sant’Agostino « dégradée » par les orthodoxes. La communauté se défend : “Ce ne sont que des images sacrées”

TREVISO – Le Diocèse est bien conscient de la situation de l’église de Sant’Agostino et de la nature des protestations soulevées par l’association “Amici dei…

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TREVISO – Le diocèse connaît bien la situation église de Sant’Agostino et la nature de manifestations élevé parAssociation « Amis des Musées »qui accuse le Communauté orthodoxe d’avoir dégradé l’intérieur du lieu de culte en y introduisant des icônes et des images religieuses qui recouvraient le mobilier historique. Et il dénonce également l’usage excessif de bougies et l’échange de nourriture pendant les fonctions. La diplomatie du diocèse s’efforce cependant de trouver un terrain d’entente, sachant que les relations avec la communauté orthodoxe qui se réunit à Sant’Agostino, composée essentiellement de citoyens d’origine moldave, sont excellentes. Et la communauté moldave se défend : «C’est offensant de dire qu’on dégrade un lieu de culte».

LA PEINTURE

«Le diocèse – il est mentionné dans une note – qui entretient de bonnes relations avec la communauté orthodoxe moldave hébergée depuis 15 ans dans l’église de Sant’Agostino de Trévise, qui fait partie du domaine paroissial de la basilique de Santa Maria Maggiore, gouvernée par les Pères Somaschi , est conscient de la situation, qui présente de nombreux résultats et aspects, et travaille depuis un certain temps à une solution satisfaisante pour tous les intérêts en jeu. ” Le comparaisonen bref, c’est en marche : « Les représentants diocésains impliqués travaillent avant tout avec attention et respect aux besoins des intéressés, besoins qui incluent également des dimensions spirituelles, ecclésiales et culturelles. Une question, précisément parce qu’elle est complexe, qui nécessite du temps et des discussions dans son propre contexte.”

LA DÉFENSE

La communauté moldave tient toutefois à clarifier certains aspects. ET Père Ion Ciobanu représentant de l’Église orthodoxe moldave de Trévise, répond : «Dire qu’on a brutalisé et dénaturaliséavec nos icônes de Jésus-Christ et de la Mère de Dieu, ce qui est en premier lieu un lieu de culte chrétien et pas un musée, C’est assez offensant. Nous exerçons nos fonctions dans l’église de San’Agostino tous les dimanches depuis 15 ans et nous donnons la possibilité à tous les fidèles, sans exception, de se réunir dans la prière et la foi au Christ et nous sommes fiers de la contribution apportée à raviver l’esprit de prière dans ce lieu sacré.

Et sur la nourriture vue lors des réceptions : « Nous tenons à souligner que le tables avec de la nourriture que Mme Carla Bidoli (présidente de l’association des Amis des Musées) a vu au milieu de l’église ce sont des cadeaux que les fidèles échangent entre eux en mémoire des mortssont recouverts de produits emballés ou déjà préparés. On ne cuisine pas à l’église». Et puis l’accent sur les bougies : « Concernant les bougies, je voudrais vous demander d’écrire un article pour chaque église qui en utilise, allant peut-être jusqu’à en interdire l’usage dans tous les lieux de culte. Et nous tenons également à souligner que les bougies sont en cire donc Je doute qu’ils produisent de la suie».

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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Le Gazzettino

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