Les forces du grand camp battent le cash :

Fibrillations dans le champ large progressif au Palazzo di Città. Les partis et les mouvements occupés jusqu’à il y a quelques jours avec les élections ont rouvert le manuel Cencelli et les problèmes reviennent sur le devant de la scène.

Une fois les élections européennes passées, ils reprennent la pratique du Conseil et de la Participation, alors que l’approbation des comptes des anciennes sociétés municipales approche, ce qui coïncide avec l’expiration des missions.

Il semble d’ailleurs qu’un administrateur unique ait expressément invoqué le statut, pour signer son budget avant de partir.

Les forces politiques se seraient mises d’accord sur l’opportunité de se réunir à nouveau immédiatement après le scrutin. Et le jour est venu.

Hier après-midi, les secrétaires des partis et mouvements et les dirigeants des groupes de la majorité se sont à nouveau réunis et ont déposé leurs demandes sur la table de la maire de Foggia, Maria Aida Episcopo, six mois après le lancement du Conseil, date limite pour un premier coupon.

Selon les rumeurs de la veille, au moins un siège pourrait manquer. Un conseiller indiqué par Action devrait quitter l’exécutif, pour laisser la place à un nom du Parti socialiste. Comme on le sait, en effet, la géographie de la Mairie a changé : en février, Mino Di Chiara a quitté le groupe Tempi Nuovi-Azione et a planté le drapeau à œillets dans la salle, pour ensuite arracher un conseiller de l’opposition il y a moins d’un mois. , Stefania Rignanese, qui a suivi les traces de son père, est aujourd’hui secrétaire provinciale adjointe du PSI.

Ainsi, pour le moment, le groupe municipal dirigé par le secrétaire municipal compte deux conseillers, tout comme Tempi Nuovi-Azione, composé de Paolo Frattulino et Antonello Di Paola. Et cela pourrait même atteindre trois. D’où la demande de rééquilibrer la représentation au Conseil.

L’entrée de Carmela Russo, fille de Pasquale Russo, également autrefois conseiller municipal, serait déjà prête, première des non-élus avec 594 préférences sur la liste Tempi Nuovi. De plus, elle est revenue à Foggia après sa spécialisation et il n’y aurait donc plus d’excuses. La maire avait en effet fixé des limites précises aux engagements de travail, valables pour toute son équipe.

Dans un premier temps, le comptable Lorenzo Frattarolo, conseiller pour les Activités Productives, aurait été considéré comme remplaçable. Les socialistes boucleraient la boucle, car ils occupent l’espace qu’ils ont revendiqué lors de la dernière réunion, au moment où ils ont eu le pire.

Mais c’est le maire qui aurait décidé de le verrouiller. D’ailleurs, durant ces premiers mois, il a fait preuve d’un certain activisme. Sur la base de discussions avec les associations professionnelles, elle a trouvé la solution consistant à réduire les taux de loyer du marché ; il a pris des mesures pour préparer un plan de kiosques et, avant cela, a résolu le problème des autorisations expirées d’occupation du domaine public ; elle a donné un nouvel élan à la lutte contre les activités commerciales illégales ; s’est à nouveau chargé du dossier du système publicitaire, pour ne citer que quelques initiatives.

L’autre conseillère du quota Action est Daniela Patano pour le Personnel et la Police Locale. Les socialistes ne se contenteraient d’ailleurs pas d’une place au conseil, mais auraient également demandé une vice-présidence dans les entreprises investies.

Cependant, comme on le sait, en tête de liste des mécontents se trouve le sud de l’Italie, qui avait utilisé des mots clairs et forts à l’occasion de son premier congrès municipal et aurait réitéré ce concept à la table.

Si à Cerignola, le grand camp a reconnu le Mouvement 5 Étoiles avec un seul conseiller comme représentant au conseil, à Foggia, dans le sud de l’Italie, il n’a pas reçu le même traitement.

Ainsi, pour commencer un nouveau tour, le mouvement politique attend du maire qu’il termine le premier, renforçant ainsi la contribution à la cause de Pasquale Cataneo et de son groupe. Après avoir fait preuve de fiabilité politique, il est confiant que sa demande de présence au conseil d’administration de l’Amiu sera acceptée.

Certes, on s’oriente vers un conseil d’administration de cinq membres dans les anciennes sociétés municipales, une solution qui a d’abord rencontré quelques résistances. Le changement implique un acte d’orientation et un processus qui pourrait prolonger le délai.

Toutes les forces revendiquent leur poids au sein de la coalition, et c’est physiologique, mais elles mettent aussi en avant les sacrifices, car le prix de certains choix ne peut être payé indéfiniment. Certains d’un côté, d’autres de l’autre affichent une certaine déception. Parmi les mécontents, il y aurait aussi Pd et Cinqestelle.

Le leader du Parti démocrate, Lino Dell’Aquila, n’a pas manqué une occasion, au Conseil, de tirer la sonnette d’alarme de temps à autre, invitant essentiellement le Conseil à agir.

Après la réunion d’hier, les lèvres étaient serrées dans le vaste camp progressiste. Cela se serait cependant terminé par une fumée noire.

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