“Caméras et policier de quartier”

Remarque – Ce communiqué de presse a été publié dans son intégralité à titre de contribution externe. Ce contenu n’est donc pas un article produit par l’équipe éditoriale de PisaToday

Le problème de la petite délinquance sur la côte pisane et au-delà est sans aucun doute un phénomène inquiétant qui se prête à de nombreuses interprétations mais quelles qu’en soient les causes, il n’en demeure pas moins que la sécurité des citoyens et du territoire au sens large est un bien irremplaçable qui doit être garantie et la tâche de chaque administration est de travailler à la recherche de solutions.

Je ne suis pas d’accord avec les déclarations de Rindi et Pieragnoli relatives à une escalade des vols et des agressions qui n’est confirmée par aucune documentation mais il faut se demander que faire. La solution n’est pas simple également en raison de la position géographique particulière de la côte pisane où, surtout dans les zones plus décentralisées comme Tirrenia et Calambrone, le contrôle du territoire est plus difficile et de nombreuses maisons ont adopté la présence de chiens de garde pour dissuader les entrée de voleurs et/ou de criminels.

En ce qui concerne Marina di Pisa et les zones côtières où la densité de centres commerciaux est plus grande, une initiative à prendre en considération par l’administration et les gestionnaires des établissements publics pourrait être représentée par l’emplacement stratégique de caméras et de systèmes d’alarme de différents types.

Une hypothèse à réfléchir pourrait également être l’institution du policier de quartier sur le modèle anglo-saxon en synergie avec les Carabinieri qui ont des effectifs réduits et des tâches complexes.

L’engagement de l’Administration sera cependant de donner une continuité à la présence de la police dans le détachement de la Police Municipale de Marina di Pisa avec un renforcement du personnel pendant la saison estivale qui les verra engagés non seulement dans le contrôle de la petite délinquance mais aussi sécurité routière, contrôle des permis, domaine public, etc.

Malheureusement, nous payons pour la mauvaise politique en matière de sécurité des administrations précédentes qui, au lieu d’investir dans la sécurité, ont démantelé la succursale du PM à Tirrenia. Une dernière considération concerne l’hostilité exprimée par l’opposition au Conseil municipal à l’égard de la proposition d’augmenter les forces de police dans la ville et dans les banlieues, qualifiant la plus grande protection de la sécurité des citoyens de « militarisation » du territoire.

Conseiller municipal FdI
Dr Stefano Barsantini
Marina di Pisa, 14 juin 2014

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