A Udine l’exposition personnelle retrace toute la carrière de Gianni Berengo Gardin, avec plus de 190 clichés

A Udine l’exposition personnelle retrace toute la carrière de Gianni Berengo Gardin, avec plus de 190 clichés
A Udine l’exposition personnelle retrace toute la carrière de Gianni Berengo Gardin, avec plus de 190 clichés

par Redazione, publié le 19/06/2024
Catégories : Expositions / Avis de non-responsabilité

Jusqu’en septembre Le 15 décembre 2024, la grande exposition personnelle de Gianni Berengo Gardin retraçant l’ensemble de sa carrière, à travers 192 tirages vintage originaux issus de ses archives personnelles et de MAXXI à Rome, en Italie, est présentée au château d’Udine.

Après le MAXXI Musée National des Arts du XXIe siècle à Rome et la Villa Pignatelli à Naples, l’exposition Gianni Berengo Gardín. L’œil comme artisanat est arrivé dans Udine, la seule étape du nord de l’Italie. L’exposition, installée dans la salle du Parlement et dans les salles de la Galleria d’Arte Antica du Château d’Udine, est ouvert au public jusqu’au 15 septembre 2024 ; il est organisé par Margherita Guccione et Alessandra Mauro, promu par la municipalité d’Udine et organisé par MAXXI – Musée national des arts du XXIe siècle en collaboration avec Contrasto et les Civici Musei di Udine.

Sont exposés 192 coups par Gianni Berengo Gardínné à Santa Margherita Ligure il y a 94 ans : une collection intégrale de tirages vintage originaux de ses archives personnelles et du musée romain. Le but de l’exposition est de redécouvrir et de relire la longue carrière du photographe ligure à travers une nouvelle perspective.

La photographie de Berengo Gardin se caractérise par une sincérité et une authenticité profondément enracinées. Évitant toute manipulation, qu’elle soit analogique ou numérique, ses œuvres constituent des documents historiques qui participent activement à la réalité qu’elles décrivent. Ses compositions naturelles placent toujours l’humain au centre d’un espace social dynamique et vécu. Au fil des décennies, Berengo Gardin a créé un héritage visuel sans précédent dans l’histoire de la photographie italienne et internationale. Sa méthode, qu’il aime qualifier d’« artisanale », est devenue sa marque de fabrique. Il s’est toujours fièrement qualifié de « photographe-photographe », soulignant son identité d’artisan de la photographie d’art plutôt que celle de photographe-artiste.

Un maître de noir et blancil a toujours été un avocat et un défenseur de la tirage photographique authentique, d’images qui capturent le quotidien. Il est également auteur de reportages et de photographies d’investigation sociale. Au cours d’une carrière de près de sept décennies, Berengo Gardin a fait la chronique de l’Italie de l’après-guerre à nos jours à travers ses clichés.

L’exposition est conçue comme un parcours chronologique, topologique et thématique à travers l’Italie vue et photographiée par l’artiste. Il retrace les 70 ans de carrière du photographe, en se concentrant sur les villes qui ont eu un impact significatif sur sa vie privée et professionnelle.

Le voyage visuel commence avec Venise, la ville où Berengo Gardin a abordé pour la première fois la photographie. Même s’il n’y est pas né, il se sent profondément lié à Venise. Ici, influencé par les milieux photographiques tels que La gondole, il suit une formation de photographe. Ses premières images des années 1950 représentent une Venise intime et tranquille, tandis que son projet le plus récent en 2013 se concentre sur les grands navires. Du charme de Venise, l’exposition se déplace vers Milan, la ville de l’industrie, des luttes ouvrières et des intellectuels. L’exposition comprend des portraits de personnalités telles qu’Ettore Sottsass, Gio Ponti, Ugo Mulas et Dario Fo. L’exposition se poursuit à travers presque toutes les régions italiennes, de la Sicile aux rizières du Piémont, observant les évolutions sociales et culturelles. Le Frioul-Vénétie Julienne occupe une place importante dans l’exposition : sont présentes, entre autres, des clichés des chantiers navals de Monfalcone. Une section particulièrement poignante de l’exposition est consacrée à hôpitaux psychiatriques, avec des images tirées du volume Morire di Classe (Mourir en classe) de 1968, créé avec Carla Cerati. Ces photographies, qui documentent les conditions dans les institutions psychiatriques italiennes avant la loi Basaglia de 1978, constituent un puissant acte de dénonciation et de respect, capturant la dure réalité de ces environnements.

L’exposition célèbre non seulement la carrière de Berengo Gardin, mais offre également un regard pénétrant sur les transformations de l’Italie à travers l’œil aiguisé d’un maître photographe.

Pour toutes informations : https://www.civicimuseiudine.it/it

A Udine l’exposition personnelle retrace toute la carrière de Gianni Berengo Gardin, avec plus de 190 clichés

Attention : la traduction en anglais de l’article original italien a été réalisée à l’aide d’outils automatiques. Nous nous engageons à relire tous les articles, mais nous ne garantissons pas l’absence totale d’inexactitudes dans la traduction dues au programme. Vous pouvez retrouver l’original en cliquant sur le bouton ITA. Si vous trouvez une erreur, veuillez nous contacter.

PREV Bari, où voir Italie-Espagne en plein air et gratuitement : de Torre Quetta à Piazza della Pace en passant par la montgolfière de Japigia (avec Salomon)
NEXT L’Inter Club Velletri a célébré la deuxième étoile entre chorales et solidarité : 1000 euros reversés à ANDOS