Les désagréments que nous nous créons :: Reportage à Arezzo

Aujourd’hui, je suis allé à la poste. Il y avait beaucoup de monde, mais j’étais pressé, je ne pouvais pas rester là à attendre mon tour, alors je suis allé directement au comptoir et non seulement tous les gens autour de moi se sont plaints, mais l’opératrice a même refusé de servir. moi ! Si ce que j’ai écrit vous a semblé un peu étrange, vous pouvez comprendre ce que j’ai ressenti en lisant le dernier rapport d’une lectrice qui non seulement a admis franchement qu’elle garait sa voiture tous les jours dans des conditions “précaires” à proximité d’une école, mais qui s’est également plainte sur le fait que de temps en temps, imaginez, ils lui donnent aussi une amende ! Commençons par les choses évidentes : les voitures garées là où elles ne devraient pas être à l’extérieur des écoles sont un grand inconvénient pour tout le monde. Ils s’adressent aux parents d’enfants plus jeunes qui se déplacent avec une poussette et doivent les éviter tous les jours et utiliser la route au lieu du trottoir, mais aussi aux enfants plus âgés, qui pourraient déjà atteindre l’école primaire de manière autonome et se retrouvent à devoir prendre des transports inutiles. des risques. Enfin, ils constituent également un inconvénient pour les autres automobilistes, qui ont une vision réduite précisément à l’endroit où il serait le plus important de l’avoir le plus clair possible. Il y a un problème, c’est indéniable, laisser son enfant à l’école n’est pas facile, mais cela ne dépend qu’en partie du manque de stationnement ; la preuve en est que, même là où ils sont abondants, les embouteillages et les gens qui conduisent leur voiture sur le trottoir pendant “seulement cinq minutes” ne manquent pas. En même temps, je ne pense pas que ce soit un problème ingérable, s’il y avait de la volonté. Je propose quelques approches possibles. Les embouteillages ne surviennent que peu avant le début des cours, c’est un laps de temps relativement court, l’accès à certaines routes pourrait être temporairement réservé uniquement à ceux qui emmènent leurs enfants à l’école, avec des barrières et du personnel, afin d’aider les parents. Dans certaines communes, des « routes scolaires » ont été créées, c’est-à-dire des chemins qui garantissent une sécurité maximale aux piétons à proximité des écoles et empêchent les voitures de s’approcher trop près de l’entrée, facilitant au contraire leur arrivée dans les parkings, s’ils sont disponibles. Enfin, l’amélioration des services de transports publics, qui dans le centre historique pourraient également être uniquement électriques, et des infrastructures, comme des pistes cyclables et des trottoirs véritablement fonctionnels, afin d’offrir des alternatives sérieuses et fiables à l’usage de la voiture. Certes, laisser son véhicule là où il n’est pas autorisé ne fait pas partie des solutions.

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