Coldiretti Marche, le battage commence : “Cela pourrait être l’année de la relance mais les cultures sont en danger pour les sangliers” – picenotime

Coldiretti Marche, le battage commence : “Cela pourrait être l’année de la relance mais les cultures sont en danger pour les sangliers” – picenotime
Coldiretti Marche, le battage commence : “Cela pourrait être l’année de la relance mais les cultures sont en danger pour les sangliers” – picenotime

Le battage commence en signe d’optimisme dans les plus de 100 mille hectares de céréales des Marches avec des prévisions qui, à ce jour, placent notre région parmi les leaders nationaux en termes de qualité et aussi en termes de quantité. Au moins en ce qui concerne la partie culture, car tous les efforts des agriculteurs des Marches risquent d’être inutiles en raison de la surnumération incontrôlée des sangliers, responsables de 75% des dégâts dans les campagnes et particulièrement friands de céréales (un tiers du total des cultures endommagées). , selon les données de la région des Marches). Une situation pour laquelle Coldiretti Marche organise une grande manifestation sous le Palais Raffaello pour demander une intervention extraordinaire capable de rétablir l’équilibre environnemental compromis par une population d’ongulés largement sous-estimée. De retour à la production, alors que la production de la Sicile et des Pouilles est en difficulté, les Marches semblent avoir laissé derrière elles les deux millésimes problématiques de 2023 et 2022 pour s’installer à des valeurs normales en termes de quantité et optimales en termes d’indice protéique et de poids spécifique. . L’objectif est de revenir au-dessus des 4 millions de quintaux de production de blé dur, la plus répandue dans la région, qui avait enregistré une baisse de plus de 10% entre ’21 et ’22 et même d’un tiers l’année dernière. L’année 2023 précisément a été marquée par des inondations et une surabondance de pluies avec des terres inondées et de la boue qui ont empêché les traitements, exposant les champs aux maladies, retardant et ralentissant les opérations de récolte. Cette année, c’est une tout autre histoire : les prévisions sont excellentes avec des épis sains et des premières productions qui s’établissent autour de 45 quintaux par hectare. Idem pour le blé tendre et l’orge. Comme toujours, le temps reste incertain comme on l’a vu ces derniers jours avec la grêle qui a causé des dégâts entre les provinces de Macerata et Fermo. Un risque toujours présent contre lequel certaines entreprises recourent à des polices d’assurance. Près de 7 % des hectares du Sau régional sont assurés contre les dommages dus aux intempéries. Le blé dur est, derrière la vigne, la deuxième culture la plus protégée de la région avec 446 entreprises « couvertes ». Il existe également 193 entreprises qui cultivent du tournesol et 102 du blé tendre.

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